Bedoumra Kordjé © DR
Les personnalités dont Pr. Avocksouma Djona et Dr. Manace, rappellent que le peuple "souhaite que la transition aboutisse à des élections transparentes et libres (...) avec une vrai paix et stabilité", a déclaré Bedoumra Kordjé. Ils demandent "une conférence de toutes les forces vives de la société tchadienne sans exclusion avec une participation équilibrée et représentative des mouvements politico-militaires, la société civile, les syndicats, les organisations, autorités traditionnelles, la diaspora, les confessions religieuses et des personnes ressources".
Selon l'ancien ministre Bedoumra Kordjé, "à ce jour, des forces politiques et sociales, et des forces politico-militaires sont exclues". Les personnalités mettent en garde contre des sources de division du pays.
"Cette conférence, grâce à la large représentativité, bénéficiera de la légitimité consensuelle pour prendre les décisions essentielles, pour aller avec confiance à des élections", assure Bedoumra Kordjé.
Les personnalités estiment que pour une transition avec confiance et de façon apaisée, il faut mettre en oeuvre trois mesures : mettre en place un organe indépendant chargé d'organiser la Conférence nationale inclusive et souveraine dans les trois prochains mois ; nommer un facilitateur international crédible accepté par tous pour faciliter la convocation de la conférence ; et réviser immédiatement la charte actuelle du Conseil militaire de transition.
Selon l'ancien ministre Bedoumra Kordjé, "à ce jour, des forces politiques et sociales, et des forces politico-militaires sont exclues". Les personnalités mettent en garde contre des sources de division du pays.
"Cette conférence, grâce à la large représentativité, bénéficiera de la légitimité consensuelle pour prendre les décisions essentielles, pour aller avec confiance à des élections", assure Bedoumra Kordjé.
Les personnalités estiment que pour une transition avec confiance et de façon apaisée, il faut mettre en oeuvre trois mesures : mettre en place un organe indépendant chargé d'organiser la Conférence nationale inclusive et souveraine dans les trois prochains mois ; nommer un facilitateur international crédible accepté par tous pour faciliter la convocation de la conférence ; et réviser immédiatement la charte actuelle du Conseil militaire de transition.