Quatre jours après la proclamation des résultats provisoires des élections législatives et provinciales du 29 décembre 2024, le président national de l’Union des Démocrates pour le Développement (UDD) a tenu un point de presse à son QG le mercredi 15 janvier 2025.
Il proteste non seulement contre les résultats provisoires proclamés par l’ANGE, mais accuse également le parti de l’ancien Premier ministre, Pahimi Padacket Albert, d’avoir violé le code électoral.
Selon Dikbo Hubert, les chiffres attribués de manière arbitraire aux candidats de son parti sont des données fabriquées de toutes pièces et constituent une insulte pour l’ensemble de la population du Mayo-Dallah qui a cru enfin, élire des personnes dignes de confiance, capables de porter son flambeau et de répondre à ses aspirations.
L’UDD rejette ainsi en bloc cette forfaiture et exige que la vérité des urnes soit dite par le Conseil Constitutionnel pour rétablir ses militants dans leurs droits, a indiqué Dikbo Hubert. L’UDD estime avoir fait face à un seul parti politique durant la campagne, un parti qui n’a manifestement pas cherché des places des élus, mais à en découdre avec lui.
Pour Dikbo Hubert, depuis la création de l’UDD jusqu’aujourd’hui, son parti a toujours eu un respect loyal envers tous ses ainés politiques de la province, sans heurter leurs intérêts, ni faire un affront. Et cela dans le seul souci d’apporter ses modestes contributions au développement de la province du Mayo-Kebbi Ouest, et partant, pour le Tchad.
Et le président de l’UDD de continuer : « Depuis les élections référendaires, en passant par la présidentielle et cette campagne électorale, des menaces et intimidations ont toujours pesé sur nos militants venant du parti politique RNDT/Le Réveil. On active la fibre communautariste pour empêcher aux parents de militer pour l’UDD, de planter nos drapeaux, ni afficher nos images. Des jeunes aussi innocents sont parfois encouragés partout pour nous diaboliser. Et comme cela ne suffisait pas, les mêmes responsables, animés d’une haine viscérale, ont manœuvré et financé la démission de la seconde candidate de l’UDD aux législatives, avec pour seul objectif de déstabiliser la liste de l’UDD. »
Pour l’UDD, le cas de la démission de la deuxième candidate aux législatives est non seulement une pratique visant à nuire à l’UDD, mais constitue une violation grave du code électoral en son article 181, qui rend nul et de nul effet, tout retrait ou démission après la liste définitive.
Cette démission a donc perturbé l’esprit des électeurs de l’UDD sous informés et cela a contribué au refus même de certaines personnes d’aller voter, a indiqué son président national. Pendant le point de presse, Dikbo Hubert a eu à laisser une interrogation : « La seule question que je voudrais aujourd’hui poser au président du RNDT/Le Réveil, c’est de me dire, si Delwa Kassiré Koumakoye qu’il a trahi pour fonder son parti et le MPS se comportaient ainsi à son égard, parlera-t-on du RNDT/le Réveil aujourd’hui, qui à tout prix, cherche à enterrer l’UDD ? »
Enfin, le président de l’UDD a invité ses militants à demeurer sereins, lucides et réconfortés pour relever d’autres grands défis.
Il proteste non seulement contre les résultats provisoires proclamés par l’ANGE, mais accuse également le parti de l’ancien Premier ministre, Pahimi Padacket Albert, d’avoir violé le code électoral.
Selon Dikbo Hubert, les chiffres attribués de manière arbitraire aux candidats de son parti sont des données fabriquées de toutes pièces et constituent une insulte pour l’ensemble de la population du Mayo-Dallah qui a cru enfin, élire des personnes dignes de confiance, capables de porter son flambeau et de répondre à ses aspirations.
L’UDD rejette ainsi en bloc cette forfaiture et exige que la vérité des urnes soit dite par le Conseil Constitutionnel pour rétablir ses militants dans leurs droits, a indiqué Dikbo Hubert. L’UDD estime avoir fait face à un seul parti politique durant la campagne, un parti qui n’a manifestement pas cherché des places des élus, mais à en découdre avec lui.
Pour Dikbo Hubert, depuis la création de l’UDD jusqu’aujourd’hui, son parti a toujours eu un respect loyal envers tous ses ainés politiques de la province, sans heurter leurs intérêts, ni faire un affront. Et cela dans le seul souci d’apporter ses modestes contributions au développement de la province du Mayo-Kebbi Ouest, et partant, pour le Tchad.
Et le président de l’UDD de continuer : « Depuis les élections référendaires, en passant par la présidentielle et cette campagne électorale, des menaces et intimidations ont toujours pesé sur nos militants venant du parti politique RNDT/Le Réveil. On active la fibre communautariste pour empêcher aux parents de militer pour l’UDD, de planter nos drapeaux, ni afficher nos images. Des jeunes aussi innocents sont parfois encouragés partout pour nous diaboliser. Et comme cela ne suffisait pas, les mêmes responsables, animés d’une haine viscérale, ont manœuvré et financé la démission de la seconde candidate de l’UDD aux législatives, avec pour seul objectif de déstabiliser la liste de l’UDD. »
Pour l’UDD, le cas de la démission de la deuxième candidate aux législatives est non seulement une pratique visant à nuire à l’UDD, mais constitue une violation grave du code électoral en son article 181, qui rend nul et de nul effet, tout retrait ou démission après la liste définitive.
Cette démission a donc perturbé l’esprit des électeurs de l’UDD sous informés et cela a contribué au refus même de certaines personnes d’aller voter, a indiqué son président national. Pendant le point de presse, Dikbo Hubert a eu à laisser une interrogation : « La seule question que je voudrais aujourd’hui poser au président du RNDT/Le Réveil, c’est de me dire, si Delwa Kassiré Koumakoye qu’il a trahi pour fonder son parti et le MPS se comportaient ainsi à son égard, parlera-t-on du RNDT/le Réveil aujourd’hui, qui à tout prix, cherche à enterrer l’UDD ? »
Enfin, le président de l’UDD a invité ses militants à demeurer sereins, lucides et réconfortés pour relever d’autres grands défis.