AA/ N'Djamena/ Mahamat Ramadane
Les signes du blocus sécuritaire imposé à N’Djamena, surtout autour des mosquées, étaient visibles samedi matin dans la capitale tchadienne qui célèbre depuis vendredi l’Aïd El Fetr (fête de la fin du mois de ramadan dans le monde musulman), a rapporté un correspondant d'Anadolu.
Dans la soirée de jeudi, des dispositifs sécuritaires ont été déployés tout autour des trois principales mosquées retenues à N'Djamena pour les prières collectives et les invocations durant les jours de l’Aïd.
Il s’agit de la grande mosquée de N'Djamena, la mosquée roi Faïçal (roi d’Arabie Saoudite) et celle de la commune du sixième arrondissement.
Des forces mixtes composées de la police, de la gendarmerie, de la garde nomade et la garde présidentielle continuent donc de surveiller les lieux, se montrant prêtes pour intervenir au moindre signal.
Le gouverneur de la ville de N'Djamena, Ali Adjideï, a affirmé à Anadolu : « Les forces de l'ordre sont là pour assurer la sécurité des fidèles musulmans, en aucun cas elles ne constitueront un obstacle pour les prières... Nous exhortons les habitants de N'Djamena à respecter les mesures de sécurité pour faciliter la tâche aux agents sur place, postés autours des mosquées...Notre sécurité avant toute chose », a-t-il indiqué.
Le Commandant de la légion numéro trois de N'Djamena, Mahamat Nour Sougui, qui coordonne le déploiement autour des mosquées a expliqué à Anadolu que les agents affectés pour assurer la sécurité des mosquées veilleront dur la sécurité de leurs compatriotes et procèdent à des fouilles des fidèles qui viendront pour la prière.
Depuis le 15 juin dernier, la capitale Tchadienne a été la cible de trois attaques terroristes, dont l’une a été revendiquée par Boko Haram. Les deux autres ont été également attribuées au même groupe armé nigérian par les autorités et certains témoins et observateurs. Ces attques ont fait des dizaines de morts et plusieurs blessés.
Les signes du blocus sécuritaire imposé à N’Djamena, surtout autour des mosquées, étaient visibles samedi matin dans la capitale tchadienne qui célèbre depuis vendredi l’Aïd El Fetr (fête de la fin du mois de ramadan dans le monde musulman), a rapporté un correspondant d'Anadolu.
Dans la soirée de jeudi, des dispositifs sécuritaires ont été déployés tout autour des trois principales mosquées retenues à N'Djamena pour les prières collectives et les invocations durant les jours de l’Aïd.
Il s’agit de la grande mosquée de N'Djamena, la mosquée roi Faïçal (roi d’Arabie Saoudite) et celle de la commune du sixième arrondissement.
Des forces mixtes composées de la police, de la gendarmerie, de la garde nomade et la garde présidentielle continuent donc de surveiller les lieux, se montrant prêtes pour intervenir au moindre signal.
Le gouverneur de la ville de N'Djamena, Ali Adjideï, a affirmé à Anadolu : « Les forces de l'ordre sont là pour assurer la sécurité des fidèles musulmans, en aucun cas elles ne constitueront un obstacle pour les prières... Nous exhortons les habitants de N'Djamena à respecter les mesures de sécurité pour faciliter la tâche aux agents sur place, postés autours des mosquées...Notre sécurité avant toute chose », a-t-il indiqué.
Le Commandant de la légion numéro trois de N'Djamena, Mahamat Nour Sougui, qui coordonne le déploiement autour des mosquées a expliqué à Anadolu que les agents affectés pour assurer la sécurité des mosquées veilleront dur la sécurité de leurs compatriotes et procèdent à des fouilles des fidèles qui viendront pour la prière.
Depuis le 15 juin dernier, la capitale Tchadienne a été la cible de trois attaques terroristes, dont l’une a été revendiquée par Boko Haram. Les deux autres ont été également attribuées au même groupe armé nigérian par les autorités et certains témoins et observateurs. Ces attques ont fait des dizaines de morts et plusieurs blessés.