Les éléments de la secte Boko Haram ont procédé, dans la nuit de mercredi 20 au jeudi 21 février 2019, à Bohoma, dans la province du Lac Tchad, à l’enlèvement de plus de 200 têtes de bétails et 7 bouviers. L’un des bouviers a réussi à s’échapper des mains de ses ravisseurs pour alerter les forces de l’ordre, a-t-on appris auprès des autorités locales.
Deux colonnes de Boko Haram ont attaqué dans la nuit du mardi 19 au mercredi 20 février, deux villages distincts dans la sous-préfecture de Ngouboua. L'attaque a fait 5 morts et 5 blessés, tandis que 9 femmes ont été enlevées dont 6 filles et 3 hommes, a indiqué à Alwihda Info une autorité provinciale.
Il a précisé que dans le second village attaqué, les éléments de Boko Haram ont procédé à des enlèvements et à la conquête de biens matériels de la population. « La première localité qui a subi l’attaque, située à 7 km au sud de Ngouboua, s’appelle Bouboura, là où il y a eu 5 personnes tuées et 5 autres blessées. Le bilan est de 5 personnes tuées et de treize personnes enlevées dont cinq jeunes filles. Les 5 personnes blessées ont été évacuées à Bagassoula pour y subir des soins appropriés. La seconde attaque s’est produite dans le village Ngasia situé à 6 km de Ngouboua. Il y a eu seulement des enlèvements de personnes et des téléphones arrachés », a expliqué une autorité locale.
"Les militaires sont à leurs trousses depuis hier mercredi pour essayer de retrouver les assaillants", a-t-il ajouté.
Une tentative d'infiltration déjouée dans la capitale
Les éléments présumés de Boko Haram multiplient ces derniers temps les attaques meurtrières dans la province du Lac Tchad contre des civils. Leur tentative d’infiltration dans la capitale s’est récemment soldée par un échec.
Les forces de l’ordre ont réussi à mettre la main lundi après-midi sur 5 présumés terroristes de Boko Haram, selon une source sécuritaire. Celle-ci ajoute que la situation sécuritaire est sous contrôle.
Un redéploiement militaire
La multiplication des attaques dans la province du Lac Tchad est due au retrait d’une importante colonne d’escadron de l’armée, aperçue dans la localité de Dagana. La colonne a reçu l’instruction de regagner la capitale avant un probable redéploiement sur une autre zone d’opération militaire, selon une source militaire.
Deux colonnes de Boko Haram ont attaqué dans la nuit du mardi 19 au mercredi 20 février, deux villages distincts dans la sous-préfecture de Ngouboua. L'attaque a fait 5 morts et 5 blessés, tandis que 9 femmes ont été enlevées dont 6 filles et 3 hommes, a indiqué à Alwihda Info une autorité provinciale.
Il a précisé que dans le second village attaqué, les éléments de Boko Haram ont procédé à des enlèvements et à la conquête de biens matériels de la population. « La première localité qui a subi l’attaque, située à 7 km au sud de Ngouboua, s’appelle Bouboura, là où il y a eu 5 personnes tuées et 5 autres blessées. Le bilan est de 5 personnes tuées et de treize personnes enlevées dont cinq jeunes filles. Les 5 personnes blessées ont été évacuées à Bagassoula pour y subir des soins appropriés. La seconde attaque s’est produite dans le village Ngasia situé à 6 km de Ngouboua. Il y a eu seulement des enlèvements de personnes et des téléphones arrachés », a expliqué une autorité locale.
"Les militaires sont à leurs trousses depuis hier mercredi pour essayer de retrouver les assaillants", a-t-il ajouté.
Une tentative d'infiltration déjouée dans la capitale
Les éléments présumés de Boko Haram multiplient ces derniers temps les attaques meurtrières dans la province du Lac Tchad contre des civils. Leur tentative d’infiltration dans la capitale s’est récemment soldée par un échec.
Les forces de l’ordre ont réussi à mettre la main lundi après-midi sur 5 présumés terroristes de Boko Haram, selon une source sécuritaire. Celle-ci ajoute que la situation sécuritaire est sous contrôle.
Un redéploiement militaire
La multiplication des attaques dans la province du Lac Tchad est due au retrait d’une importante colonne d’escadron de l’armée, aperçue dans la localité de Dagana. La colonne a reçu l’instruction de regagner la capitale avant un probable redéploiement sur une autre zone d’opération militaire, selon une source militaire.