En mission dans la province du Logone Occidental pour enquêter sur les conflits communautaires survenus dans les villages, la délégation de la CNDH, accompagnée du gouverneur de la province, des autorités militaires et administratives, s'est rendue le mardi 1er octobre 2024 à Palakoundja et dans ses environs. Ce village a été le théâtre d'affrontements ayant éclaté entre deux voisins, qui ont ensuite impliqué plusieurs personnes, entraînant deux morts, des blessés, et des dégâts matériels.
Avant d'arriver à Palakoundja, la délégation a fait une halte à Beïnamar, chef-lieu du département de Dodjé, où elle a été chaleureusement accueillie par le préfet Oumar Ali Ousmane. Elle a ensuite poursuivi sa route vers Palakoundja, situé à 12 kilomètres de Beïnamar.
Sur place, une rencontre a été organisée avec les parties en conflit pour explorer les voies de réconciliation. Dans son discours de bienvenue, le préfet Oumar Ali Ousmane a expliqué que les événements étaient initialement dus à une obstruction d’un passage public entre deux voisins, ce qui a dégénéré en impliquant d'autres membres de la communauté. Les responsables de ces actes ont été arrêtés et traduits en justice, a-t-il ajouté.
Mme Mbaïnaye Eugénie, vice-présidente du Conseil National et conseillère de la province, a exhorté les habitants à ne pas laisser la situation se détériorer, en avertissant : « Voulez-vous que le Tchad devienne comme le Soudan ou la Libye ? Rien ne vaut la paix. Vous avez vécu en harmonie pendant deux décennies, ne prêtez pas attention à ceux qui cherchent à vous diviser. »
Le président de la CNDH, Belngar Larmé Jacques, a rappelé que la mission de la CNDH consiste à promouvoir et protéger les droits de l'homme. Cette mission vise à établir les faits : pourquoi et comment ces événements tragiques se sont produits ? Il a salué la signature du procès-verbal de réconciliation entre les deux parties.
Le gouverneur du Logone Occidental, Ibrahim Ibni Oumar Mahamat Saleh, a averti ceux qui tentent de semer la discorde pour des intérêts personnels et a souligné que même la perte d'une seule vie est inacceptable. Il a encouragé la population à préserver la paix et à ne pas recourir à la justice privée, insistant sur le fait que la justice officielle devait se charger de résoudre les différends.
Enfin, les commissaires de la CNDH ont pris le temps d'écouter toutes les parties impliquées ainsi que les témoins, sans aucune influence ni interférence, afin de constituer un dossier solide qu'ils soumettront au président de la République sous forme d'un avis pour permettre la prise de mesures adéquates.
Avant d'arriver à Palakoundja, la délégation a fait une halte à Beïnamar, chef-lieu du département de Dodjé, où elle a été chaleureusement accueillie par le préfet Oumar Ali Ousmane. Elle a ensuite poursuivi sa route vers Palakoundja, situé à 12 kilomètres de Beïnamar.
Sur place, une rencontre a été organisée avec les parties en conflit pour explorer les voies de réconciliation. Dans son discours de bienvenue, le préfet Oumar Ali Ousmane a expliqué que les événements étaient initialement dus à une obstruction d’un passage public entre deux voisins, ce qui a dégénéré en impliquant d'autres membres de la communauté. Les responsables de ces actes ont été arrêtés et traduits en justice, a-t-il ajouté.
Mme Mbaïnaye Eugénie, vice-présidente du Conseil National et conseillère de la province, a exhorté les habitants à ne pas laisser la situation se détériorer, en avertissant : « Voulez-vous que le Tchad devienne comme le Soudan ou la Libye ? Rien ne vaut la paix. Vous avez vécu en harmonie pendant deux décennies, ne prêtez pas attention à ceux qui cherchent à vous diviser. »
Le président de la CNDH, Belngar Larmé Jacques, a rappelé que la mission de la CNDH consiste à promouvoir et protéger les droits de l'homme. Cette mission vise à établir les faits : pourquoi et comment ces événements tragiques se sont produits ? Il a salué la signature du procès-verbal de réconciliation entre les deux parties.
Le gouverneur du Logone Occidental, Ibrahim Ibni Oumar Mahamat Saleh, a averti ceux qui tentent de semer la discorde pour des intérêts personnels et a souligné que même la perte d'une seule vie est inacceptable. Il a encouragé la population à préserver la paix et à ne pas recourir à la justice privée, insistant sur le fait que la justice officielle devait se charger de résoudre les différends.
Enfin, les commissaires de la CNDH ont pris le temps d'écouter toutes les parties impliquées ainsi que les témoins, sans aucune influence ni interférence, afin de constituer un dossier solide qu'ils soumettront au président de la République sous forme d'un avis pour permettre la prise de mesures adéquates.