LIBREVILLE — Des affrontements ont opposé ces dernières 48 heures des hommes de l'Union des forces de la résistance (UFR, rébellion), et l'armée du Tchad dans l'est du pays, a-t-on appris lundi auprès des deux parties.
Dans un communiqué reçu par l'AFP à Libreville, l'UFR a affirmé que ces combats ont eu lieu lorsque "l'aviation tchadienne a tenté de bombarder ses positions à l'est du Tchad", dimanche et lundi, mais a été repoussée par sa défense aérienne.
Les raids, qui ont été suivis d'un "affrontement au sol", ont "tué quatre civils et blessé des dizaines d'autres", selon ce texte signé du porte-parole de l'UFR, Abderaman Koulamallah, faisant également état "de nombreux blessés gouvernementaux (...) acheminés à N'djamena et dans les grandes villes de l'est".
Selon la même source, les raids ont touché des populations civiles "aux alentours des villages Gadar, Route-Route et Djibel".
Interrogé sur le sujet par l'AFP à N'Djamena, le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement tchadien, Mahamat Hissène, a évoqué un affrontement et des frappes aériennes, en réfutant la mort de civils.
Les militaires tchadiens "sont en train de se redéployer sur les différents postes d'observation tout au long de la frontière" avec le Soudan, "il y a eu des véhicules de l'armée qui ont sauté sur des mines. Il s'en est suivi un accrochage avec l'ennemi et l'aviation est venue en appui aux forces gouvernementales", a expliqué M. Hissène.
Il n'a pas fourni de bilan pour les deux camps.
"Cela s'est passé en dehors des zones d'habitation. Si l'ennemi parle de civils tués, c'est à des fins de propagande", a-t-il cependant souligné.
La rébellion tchadienne a plusieurs fois accusé l'aviation tchadienne d'avoir survolé ou bombardé ses positions dans l'est du Tchad, théâtre permanent de combats entre armée et mouvements rebelles tchadiens -venus du Soudan ou de Libye- depuis près de 20 ans.
Les combats sont fréquents depuis 2005 et N'Djamena et Khartoum s'accusent mutuellement de tentatives de déstabilisation par groupes armés interposés.
Dans un communiqué reçu par l'AFP à Libreville, l'UFR a affirmé que ces combats ont eu lieu lorsque "l'aviation tchadienne a tenté de bombarder ses positions à l'est du Tchad", dimanche et lundi, mais a été repoussée par sa défense aérienne.
Les raids, qui ont été suivis d'un "affrontement au sol", ont "tué quatre civils et blessé des dizaines d'autres", selon ce texte signé du porte-parole de l'UFR, Abderaman Koulamallah, faisant également état "de nombreux blessés gouvernementaux (...) acheminés à N'djamena et dans les grandes villes de l'est".
Selon la même source, les raids ont touché des populations civiles "aux alentours des villages Gadar, Route-Route et Djibel".
Interrogé sur le sujet par l'AFP à N'Djamena, le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement tchadien, Mahamat Hissène, a évoqué un affrontement et des frappes aériennes, en réfutant la mort de civils.
Les militaires tchadiens "sont en train de se redéployer sur les différents postes d'observation tout au long de la frontière" avec le Soudan, "il y a eu des véhicules de l'armée qui ont sauté sur des mines. Il s'en est suivi un accrochage avec l'ennemi et l'aviation est venue en appui aux forces gouvernementales", a expliqué M. Hissène.
Il n'a pas fourni de bilan pour les deux camps.
"Cela s'est passé en dehors des zones d'habitation. Si l'ennemi parle de civils tués, c'est à des fins de propagande", a-t-il cependant souligné.
La rébellion tchadienne a plusieurs fois accusé l'aviation tchadienne d'avoir survolé ou bombardé ses positions dans l'est du Tchad, théâtre permanent de combats entre armée et mouvements rebelles tchadiens -venus du Soudan ou de Libye- depuis près de 20 ans.
Les combats sont fréquents depuis 2005 et N'Djamena et Khartoum s'accusent mutuellement de tentatives de déstabilisation par groupes armés interposés.