Le collectif des avocats de Madame Scholastique Coco a organisé un point de presse le 19 janvier 2025 pour dénoncer les menaces d'arrestation pesant sur leur cliente. Ces menaces proviennent d'un certain Adoum, chef d'antenne aux renseignements, qui recherche activement Madame Coco en lien avec des faits qu'elle a dénoncés sur sa page Facebook.
Les avocats ont précisé que la publication de leur cliente visait à mettre en lumière des problèmes sociétaux tels que l'injustice, l'exclusion, la discrimination et le népotisme, des enjeux qui nuisent à la cohésion sociale au Tchad. Ils ont rappelé que cette dénonciation s'inscrit dans le cadre de la constitution de la 5ème République, qui prône le respect des diversités et les droits fondamentaux de l'homme.
Ils ont également souligné que le Tchad a adhéré à des instruments juridiques internationaux, comme la Déclaration universelle des droits de l'Homme et la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples, qui consacrent la liberté d'expression. Les avocats se sont déclarés surpris de voir les renseignements généraux, chargés de la sécurité des citoyens, se transformer en outil de répression contre les voix critiques.
Face à cette situation, le conseil de Madame Scholastique Coco appelle le Chef de l'État à intervenir pour faire cesser ces menaces d'arrestation arbitraire. Ils tiennent également pour responsables le Sieur Adoum et les responsables des renseignements généraux de tout ce qui pourrait arriver à leur cliente.
Enfin, les avocats ont rappelé que si Madame Coco devait être en conflit avec la loi, il est de la responsabilité de la justice de le traiter, et non de recourir à des pratiques répressives.
Les avocats ont précisé que la publication de leur cliente visait à mettre en lumière des problèmes sociétaux tels que l'injustice, l'exclusion, la discrimination et le népotisme, des enjeux qui nuisent à la cohésion sociale au Tchad. Ils ont rappelé que cette dénonciation s'inscrit dans le cadre de la constitution de la 5ème République, qui prône le respect des diversités et les droits fondamentaux de l'homme.
Ils ont également souligné que le Tchad a adhéré à des instruments juridiques internationaux, comme la Déclaration universelle des droits de l'Homme et la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples, qui consacrent la liberté d'expression. Les avocats se sont déclarés surpris de voir les renseignements généraux, chargés de la sécurité des citoyens, se transformer en outil de répression contre les voix critiques.
Face à cette situation, le conseil de Madame Scholastique Coco appelle le Chef de l'État à intervenir pour faire cesser ces menaces d'arrestation arbitraire. Ils tiennent également pour responsables le Sieur Adoum et les responsables des renseignements généraux de tout ce qui pourrait arriver à leur cliente.
Enfin, les avocats ont rappelé que si Madame Coco devait être en conflit avec la loi, il est de la responsabilité de la justice de le traiter, et non de recourir à des pratiques répressives.