L'Union des cadres chrétiens (UCCT), via un point-presse, crie profanation suite à la brutalisation de l'archevêque métropolitain Edmond Djitangar Goetbé à "la marche de la dignité et de la justice" du 15 février à N'Djaména.
L'association estime qu'il est inadmissible qu'un pasteur de la trempe de Djitangar qui participe régulièrement à la "prière pour la paix, la justice et la cohabitation pacifique" ne puisse être identifié par les policiers. Cette répression et les divers cas de tueries font douter l'UCCT du "bien-fondé du dialogue qui s'annonce".
L'association estime qu'il est inadmissible qu'un pasteur de la trempe de Djitangar qui participe régulièrement à la "prière pour la paix, la justice et la cohabitation pacifique" ne puisse être identifié par les policiers. Cette répression et les divers cas de tueries font douter l'UCCT du "bien-fondé du dialogue qui s'annonce".