
Arrêté le 5 mars à son bureau par la police judiciaire, Olivier Mbaindiguim a déjà passé trois nuits en détention. L'organisation Reporters Sans Frontières (RSF) a exprimé son inquiétude et a demandé la libération du journaliste, soulignant l'importance de la transparence des autorités.
"Les autorités doivent communiquer les raisons de sa détention, encore inconnues deux jours après son arrestation", a déclaré RSF dans un communiqué publié le 7 mars.