S'exprimant au cours d'une rencontre de la plateforme des communautés locales et des peuples autochtones d’Afrique et d’Asie au Radisson Blu, elle a souligné que le cas du débordement des eaux du fleuve Chari et Logone qui menace dangereusement la population de Walia dans le 9ème arrondissement de N’Djamena est lié au changement climatique.
Hindou Oumarou Ibrahim appelle le gouvernement à prendre des mesures d’urgences pour pallier à ce phénomène. Elle invite les partenaires aux changements climatiques à proposer de techniques d’adaptation et d’atténuation pour aider la population riveraine.
Hindou Oumarou Ibrahim appelle le gouvernement à prendre des mesures d’urgences pour pallier à ce phénomène. Elle invite les partenaires aux changements climatiques à proposer de techniques d’adaptation et d’atténuation pour aider la population riveraine.
La crue du fleuve "pourrait aggraver une situation déjà préoccupante"
Des inondations fluviales sont anticipées pour les prochains semaines en raison de la montée des eaux des lacs et des fleuves, ce qui pourrait davantage aggraver une situation déjà préoccupante, indique le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU (OCHA) dans son rapport de situation du 12 octobre.
Un plan de contingence conjoint entre le gouvernement et les acteurs humanitaires a été élaboré suivant un scénario très probable sur la poursuite d'une pluviométrie abondante qui pourrait durer jusqu'à mi-octobre, voire fin octobre avec le débordement des cours d'eau, provoquant des inondations fluviales et pluviales.
Le 9ème arrondissement de la ville de N'Djamena est inondé depuis le 8 octobre suite à la destruction des digues qui entourent les quartiers limitrophes au fleuve. Certains habitants sont sans abris.
Sur instruction du président de la transition Mahamat Idriss Deby, les forces de défense et de sécurité ont été mobilisées depuis jeudi pour venir en aide aux sinistrés.
Des inondations fluviales sont anticipées pour les prochains semaines en raison de la montée des eaux des lacs et des fleuves, ce qui pourrait davantage aggraver une situation déjà préoccupante, indique le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU (OCHA) dans son rapport de situation du 12 octobre.
Un plan de contingence conjoint entre le gouvernement et les acteurs humanitaires a été élaboré suivant un scénario très probable sur la poursuite d'une pluviométrie abondante qui pourrait durer jusqu'à mi-octobre, voire fin octobre avec le débordement des cours d'eau, provoquant des inondations fluviales et pluviales.
Le 9ème arrondissement de la ville de N'Djamena est inondé depuis le 8 octobre suite à la destruction des digues qui entourent les quartiers limitrophes au fleuve. Certains habitants sont sans abris.
Sur instruction du président de la transition Mahamat Idriss Deby, les forces de défense et de sécurité ont été mobilisées depuis jeudi pour venir en aide aux sinistrés.