S'agissant de la crise du chômage des jeunes, Tahir Hamid Nguilin a estimé que le plus important est de faire repartir l'économie. "Quand l'économie part, c'est un cercle vertueux, donc les emplois se créent d'eux-mêmes plus ou moins. Mais je n'ai pas vu beaucoup d'États au monde qui ont réglé les questions de chômage par des intégrations à la fonction publique. On n'en connait pas. Ceux qui ont tenté de faire ça, peut être la Russie mais après ça s'est effondré", a indiqué le ministre.
Répondant à une question du conseiller Abderaman Koko sur le fonds de l'entrepreneuriat des jeunes, le ministre a souligné que l'État a mis en place un compte de garantie, sans rattachement à des institutions telles que l'ONAJES. "Les banques reçoivent des garanties et donnent des prêts (...) Ce fonds a un objectif global de 30 milliards Fcfa. L'État a mis 10 milliards Fcfa. (...) Cet argent a généré des intérêts en faveur de l'État depuis qu'on a placé dans les banques".
Le Tchad a fait face cette année à des "difficultés extraordinaires", a relevé le ministre, faisant allusion à la guerre, les élections présidentielles, la pluviométrie qui a manqué et la période de transition.
"Malgré cela, nous avons augmenté les salaires. Jamais la masse salariale au Tchad n'a été aussi que cette année (...) Le ministère des Finances essaye de faire de son mieux", a-t-il dit.
Répondant à une question du conseiller Abderaman Koko sur le fonds de l'entrepreneuriat des jeunes, le ministre a souligné que l'État a mis en place un compte de garantie, sans rattachement à des institutions telles que l'ONAJES. "Les banques reçoivent des garanties et donnent des prêts (...) Ce fonds a un objectif global de 30 milliards Fcfa. L'État a mis 10 milliards Fcfa. (...) Cet argent a généré des intérêts en faveur de l'État depuis qu'on a placé dans les banques".
Le Tchad a fait face cette année à des "difficultés extraordinaires", a relevé le ministre, faisant allusion à la guerre, les élections présidentielles, la pluviométrie qui a manqué et la période de transition.
"Malgré cela, nous avons augmenté les salaires. Jamais la masse salariale au Tchad n'a été aussi que cette année (...) Le ministère des Finances essaye de faire de son mieux", a-t-il dit.