Le président de l'Union Démocratique Tchadienne (UDT), Abdraman Koulamallah a animé, ce mercredi, à la Maison des Médias, une conférence de presse pour faire le point sur la situation politique et ses enjeux et d'en tirer les leçons pour l'avenir du Pays, le forum national sur les reformes institutionnelles et surtout sur la conférence de Paris pour réunir les bailleurs de fonds dans le cadre du Programme National du Développement (PND) s'inscrivant dans la logique de sa rentrée politique.
Après sa déclaration liminaire, il a échangé avec la presse sur plusieurs questions brulantes de l'heure entre la conduite de sa formation politique, la menace de boycott que fait peser l'opposition sur la conférence des bailleurs, le combat dans le nord du Tchad opposant un mouvement rebelle aux armées régulières et sa position vis-à-vis de ses anciens camarades d'armes.
Le président de l'Union Démocratique Tchadienne (UDT), Abdraman Koulamallah a qualifié d'initiative salutaire la volonté du président de la République d'établir un dialogue avec les leaders politiques de l'opposition. D'autant plus que le chef de l'Etat envisage de l'étendre aux organisations de la société civile en vue de la tenue du forum national, une des promesses contenu dans le programme politique lors de la dernière élection présidentielle.
Par ailleurs, il déplore que certains opposants veulent en faire un dialogue dit « inclusif », en d'autres termes faire participer à ce rendez-vous démocratique, les nébuleuses groupes armés difficiles à identifier. Et de souligner qu'il est surprenant que les partis politiques légalisés appellent au dialogue, des organisations qui sont les alliés des groupes Djihadistes en Libye et qui sont impliqués dans la guerre interne des Libyens, faisant allusion aux mouvements rebelles Tchadiens hostiles au régime du président Deby.
« Ces organisations ne sont pas dans la logique de nos institutions démocratiques car ils veulent le détruire », explique t-il. En outre, il affirme que ces mêmes forces politiques déclarent par ailleurs à qui veut l'entendre qu'ils se préparent à torpiller la réunion des bailleurs de fond dans le cadre du Programme national du Développement (PND), avant d'ajouter que la réunion de Paris est profitable aux Tchadiens et à l'économie. La menace de la faire échouer, de la part de ceux qui aspirent aux plus hautes fonctions de l'État, est surprenante.
« Vingt-quatre ans après la Conférence Nationale Souveraine, notre pays a besoin de renouveler ses institutions et de les adapter à l'évolution politique nationale et à la réalité économique et sociale du Tchad. L'idée des institutions se nourrit dans la continuité et la durée, d'une multitude de changements d'améliorations, de ruptures parfois. La réforme de l'État et l'amélioration de notre processus démocratique n'est pas une affaire de bateleur. C'est une affaire de vérité et de convictions. La réforme est indispensable à l'épanouissement d'une société moderne car elle s'ancre du débat et de l'action publique », a-t-il martelé.
Après sa déclaration liminaire, il a échangé avec la presse sur plusieurs questions brulantes de l'heure entre la conduite de sa formation politique, la menace de boycott que fait peser l'opposition sur la conférence des bailleurs, le combat dans le nord du Tchad opposant un mouvement rebelle aux armées régulières et sa position vis-à-vis de ses anciens camarades d'armes.
Le président de l'Union Démocratique Tchadienne (UDT), Abdraman Koulamallah a qualifié d'initiative salutaire la volonté du président de la République d'établir un dialogue avec les leaders politiques de l'opposition. D'autant plus que le chef de l'Etat envisage de l'étendre aux organisations de la société civile en vue de la tenue du forum national, une des promesses contenu dans le programme politique lors de la dernière élection présidentielle.
Par ailleurs, il déplore que certains opposants veulent en faire un dialogue dit « inclusif », en d'autres termes faire participer à ce rendez-vous démocratique, les nébuleuses groupes armés difficiles à identifier. Et de souligner qu'il est surprenant que les partis politiques légalisés appellent au dialogue, des organisations qui sont les alliés des groupes Djihadistes en Libye et qui sont impliqués dans la guerre interne des Libyens, faisant allusion aux mouvements rebelles Tchadiens hostiles au régime du président Deby.
« Ces organisations ne sont pas dans la logique de nos institutions démocratiques car ils veulent le détruire », explique t-il. En outre, il affirme que ces mêmes forces politiques déclarent par ailleurs à qui veut l'entendre qu'ils se préparent à torpiller la réunion des bailleurs de fond dans le cadre du Programme national du Développement (PND), avant d'ajouter que la réunion de Paris est profitable aux Tchadiens et à l'économie. La menace de la faire échouer, de la part de ceux qui aspirent aux plus hautes fonctions de l'État, est surprenante.
« Vingt-quatre ans après la Conférence Nationale Souveraine, notre pays a besoin de renouveler ses institutions et de les adapter à l'évolution politique nationale et à la réalité économique et sociale du Tchad. L'idée des institutions se nourrit dans la continuité et la durée, d'une multitude de changements d'améliorations, de ruptures parfois. La réforme de l'État et l'amélioration de notre processus démocratique n'est pas une affaire de bateleur. C'est une affaire de vérité et de convictions. La réforme est indispensable à l'épanouissement d'une société moderne car elle s'ancre du débat et de l'action publique », a-t-il martelé.