Le Président du parti de l'Union démocratique tchadienne (UDT), membre de la majorité présidentielle, Abderaman Koulamallah.
Le Président du parti de l'Union démocratique tchadienne (UDT), membre de la majorité présidentielle, Abderaman Koulamallah a tenu ce matin un point de presse à la maison des médias. Il a salué l'initiative de dialogue initié depuis quelques jours par le chef de l'Etat. Selon lui, la démocratie a besoin d'un dialogue permanent, "nous pensons qu'il serait bénéfique que ce dialogue revienne."
L'UDT déplore la volonté de certains opposants de vouloir en faire un dialogue inclusif, en faisant participer à ce dialogue les nébuleuses groupes armés "qu'on a d'ailleurs du mal à identifier". Selon Abderaman Koulamallah, "il est surprenant que des partis politiques légalisés appellent au dialogue des organisations qui sont des alliés des groupes djihadistes en Libye et qui sont impliqués dans les guerres internes libyennes. Ces organisations ne sont pas dans la logique de nos institutions démocratiques car elles veulent les détruire."
"Ces opposants ignorent la réalité de ces groupes", estime l'UDT qui "invite à mieux s'informer sur (leur) nature et leurs sources de financements".
S'agissant de la réunion de Paris, l'UDT la juge "profitable aux tchadiens et à notre économique", ainsi, "menacer de la faire échouer est surprenant", avant de relever le "manque d'inspiration de l'opposition".
Justifiant la prochaine réforme constitutionnelle, Abderaman Koulamallah a souligné que "24 ans après la conférence nationale souveraine, notre pays a besoin de renouveler ses institutions et de les adapter à l'évolution politique nationale et à la réalité économique et sociale du Tchad. La réforme est indispensable à l'épanouissement d'une société moderne".
"Ces opposants ignorent la réalité de ces groupes. Je les invitent à mieux s'informer sur la nature de ces groupes et leurs sources de financements."
L'UDT déplore la volonté de certains opposants de vouloir en faire un dialogue inclusif, en faisant participer à ce dialogue les nébuleuses groupes armés "qu'on a d'ailleurs du mal à identifier". Selon Abderaman Koulamallah, "il est surprenant que des partis politiques légalisés appellent au dialogue des organisations qui sont des alliés des groupes djihadistes en Libye et qui sont impliqués dans les guerres internes libyennes. Ces organisations ne sont pas dans la logique de nos institutions démocratiques car elles veulent les détruire."
"Ces opposants ignorent la réalité de ces groupes", estime l'UDT qui "invite à mieux s'informer sur (leur) nature et leurs sources de financements".
S'agissant de la réunion de Paris, l'UDT la juge "profitable aux tchadiens et à notre économique", ainsi, "menacer de la faire échouer est surprenant", avant de relever le "manque d'inspiration de l'opposition".
"La réforme est indispensable à l'épanouissement d'une société moderne."
Justifiant la prochaine réforme constitutionnelle, Abderaman Koulamallah a souligné que "24 ans après la conférence nationale souveraine, notre pays a besoin de renouveler ses institutions et de les adapter à l'évolution politique nationale et à la réalité économique et sociale du Tchad. La réforme est indispensable à l'épanouissement d'une société moderne".