En date du 4 février 2009 l’ancien premier Ministre Fidel Moungar a pris contact avec les dirigeants de l’UFR pour leur faire part de son initiative de paix pour une réconciliation nationale et pour mettre fin au conflit actuel.
L’UFR, tout en saluant cette initiative, tient néanmoins à affirmer qu’aucune solution négociée ne peut intervenir sans qu’elle ne soit précédée d’un dialogue inclusif réunissant l’ensemble des acteurs politiques et ceux de la société civile pour jeter les bases d’un Tchad nouveau respectant les droits humains et pour la mise en place d’un processus démocratique véritable garantissant la libre expression du suffrage universel.
L’UFR et ses dirigeants ont toujours exprimé leur disponibilité pour une solution négociée et ce quelle que soient les initiateurs de rencontres de paix, mais elle n’acceptera jamais un compromis tendant à perpétuer le règne sanguinaire d’Idriss Deby et son régime décadent.
Les tchadiens qui payent un lourd tribut à la dictature aspirent à un changement véritable et démocratique et il ne saurait être question d’une solution tronquée.
L’esprit belliqueux d’Idriss Deby et son refus de dialogue se manifeste tous les jours sur le champ de bataille où son armée tente vainement de se renforcer malgré les énormes désertions en faveur des forces de la résistance.
En cherchant la confrontation coute que coute, le pouvoir de N’djamena prend le risque d’une nouvelle confrontation avec nos forces armées mais notre détermination à nous battre pour le changement reste intacte et nous chasserons la dictature pour permettre aux tchadiens de s’unir et de vivre dans une société de liberté et de paix.
Fait à Hadjar Marfaïne le 14 février 2009
Abderaman Koulamallah
[email protected]
L’UFR et ses dirigeants ont toujours exprimé leur disponibilité pour une solution négociée et ce quelle que soient les initiateurs de rencontres de paix, mais elle n’acceptera jamais un compromis tendant à perpétuer le règne sanguinaire d’Idriss Deby et son régime décadent.
Les tchadiens qui payent un lourd tribut à la dictature aspirent à un changement véritable et démocratique et il ne saurait être question d’une solution tronquée.
L’esprit belliqueux d’Idriss Deby et son refus de dialogue se manifeste tous les jours sur le champ de bataille où son armée tente vainement de se renforcer malgré les énormes désertions en faveur des forces de la résistance.
En cherchant la confrontation coute que coute, le pouvoir de N’djamena prend le risque d’une nouvelle confrontation avec nos forces armées mais notre détermination à nous battre pour le changement reste intacte et nous chasserons la dictature pour permettre aux tchadiens de s’unir et de vivre dans une société de liberté et de paix.
Fait à Hadjar Marfaïne le 14 février 2009
Abderaman Koulamallah
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