CONVENTION TCHADIENNE POUR LA DEFENSE DES DROITS HUMAINS (C.T.D.D.H)
La Convention Tchadienne pour la Défense des Droits de l’Homme (C.T.D.D.H) informe l’opinion nationale et internationale que suite aux manifestations des étudiants réclamant le versement de leurs arriérées de bourse, le pouvoir tchadien dans sa logique de division et d’achat des consciences à tenté de déstabiliser le bureau national de l’Union des Etudiants Tchadiens (UNET). Apres avoir acheté quelques membres du bureau et avoir tenté de les pousser à renvoyer en violation des textes de l’UNET leur Président régulièrement élu, les Ministres de l’Intérieur et celui de l’enseignement supérieur avaient interdit la réunion des secrétaires généraux des sections provinciales de l’UNET arrivés des provinces pour réitérer leur respect des textes et leur fidélité au Président de l’UNET prétendument destitué.
Dans leur logique barbare de vouloir tout régler par la violence, les autorité ont envoyé la police et la gendarmerie arrêter tous les Secrétaires généraux des sections provinciales ainsi que le Président et tous les autres membres ayant refusé le diktat gouvernemental.
La Convention Tchadienne pour la Défense des Droits Humains(C.T.D.D.H) condamne avec la dernière énergie, ces arrestations brutales sauvages et dignes de l’époque sombre des dictatures.
La C.T.D.D.H. exige la libération immédiate et sans conditions de ces étudiants ; par ailleurs, elle met en garde le gouvernement contre des atteintes à leurs intégrité physique. La police tchadienne étant coutumière du genre, la C.T.D.D.H prévient ses responsables contre toute exactions barbare du genre de celles perpétrées il n’y’a pas longtemps sur des élèves.
La Convention Tchadienne pour la Défense des Droits Humains (C.T.D.D.H) estime que le Gouvernement ferait mieux de payer tous les arriérés de bourse au lieu de se livrer à ces pratiques lâches de division et de tentatives d’affaiblissement du bureau de l’UNET qui sont vouées à l’échec et qui en fait ne feront que mettre de l’huile sur le feu.
Fait à Ndjamena le 12/08/2015
Le Secrétaire General
MAHAMAT-NOUR A.IBEDOU
Dans leur logique barbare de vouloir tout régler par la violence, les autorité ont envoyé la police et la gendarmerie arrêter tous les Secrétaires généraux des sections provinciales ainsi que le Président et tous les autres membres ayant refusé le diktat gouvernemental.
La Convention Tchadienne pour la Défense des Droits Humains(C.T.D.D.H) condamne avec la dernière énergie, ces arrestations brutales sauvages et dignes de l’époque sombre des dictatures.
La C.T.D.D.H. exige la libération immédiate et sans conditions de ces étudiants ; par ailleurs, elle met en garde le gouvernement contre des atteintes à leurs intégrité physique. La police tchadienne étant coutumière du genre, la C.T.D.D.H prévient ses responsables contre toute exactions barbare du genre de celles perpétrées il n’y’a pas longtemps sur des élèves.
La Convention Tchadienne pour la Défense des Droits Humains (C.T.D.D.H) estime que le Gouvernement ferait mieux de payer tous les arriérés de bourse au lieu de se livrer à ces pratiques lâches de division et de tentatives d’affaiblissement du bureau de l’UNET qui sont vouées à l’échec et qui en fait ne feront que mettre de l’huile sur le feu.
Fait à Ndjamena le 12/08/2015
Le Secrétaire General
MAHAMAT-NOUR A.IBEDOU