Le chargé de revendication de la cellule syndicale des conseillers agricoles de l’Office Nationale de Développement Rural (ONDR) et du Programme National de Sécurité Alimentaire (PNSA), Bagao Ndikwé Badinga, a animé, ce jeudi 28 septembre 2017, à la Bourse de travail de N’Djamena, un point de presse pour réclamer le paiement de 17 mois d'arrières de salaires pour les agents sous financement de Programme National de Sécurité Alimentaire (PNSA), de 7 mois d'arriérés de salaire pour les agents de l’Office National de Développement Rural (ONDR) et de 3 mois d'arriérés de salaire pour les ex-employés de SODELAC.
Il a dénoncé la non prise en compte dans la nouvelle institution appelée Agence Nationale de Développement Rural (ANADER), née de la fusion de leurs institutions dissoutes.
Ces agents, dans une missive par amplification adressée au Premier Ministre, ont sollicité son implication dans le processus de mise en application de la loi portant création de l’ANADER. Ils souhaitent que la feuille de route définie à l’administrateur liquidateur leur soit dévoilée pour une question d’équité et de transparence.
La cellule syndicale des conseillers agricoles de l’Office Nationale de Développement Rural (ONDR) et du Programme National de Sécurité Alimentaire (PNSA) entend saisir dans les jours qui suivent le ministre de finances et de budgets afin de faire la lumière sur l’opportunité de financer cette opération de liquidation entourée de tout ce flou.
Le chargé de revendication de la cellule syndicale des conseillers agricoles de l’Office Nationale de Développement Rural (ONDR) et du Programme National de Sécurité Alimentaire (PNSA), Bagao Ndikwé Badinga a expliqué que le décret d’application de la loi portant création de l’ANADER dit que cette dernière aura besoin d’un personnel qualifié et réduit. Il a ajouté que cela n’a pas été la stupéfaction du citoyen lambda quand le ministre de la production, de l’irrigation et de l’équipement agricole a proposé la nomination de 14 directeurs en lieu et place des 5 responsables qui étaient à la tête des anciennes institutions, et la nomination de 10 chefs d’antenne, eux aussi avec rang de directeur.
« Que le ministre et le Secrétaire général, sachent que nos salaires ne serviront jamais au paiement des avances sur des commandes des pesticides ou d’engrais comme cela semble ostentatoirement leur priorité », a martelé le chargé de revendication de la cellule syndicale, Bagao Ndikwé Badinga.
Par ailleurs, la cellule syndicale demande au président du conseil d’administration de l’Agence Nationale du Développement Rural de s'obliger à observer les clauses de la loi n38/PR/96 portant code du travail et la convention collective générale qui exigent l’implication des délégués du personnel et de l’inspection du travail, et le respect des procédures de licenciement.
Il a dénoncé la non prise en compte dans la nouvelle institution appelée Agence Nationale de Développement Rural (ANADER), née de la fusion de leurs institutions dissoutes.
Ces agents, dans une missive par amplification adressée au Premier Ministre, ont sollicité son implication dans le processus de mise en application de la loi portant création de l’ANADER. Ils souhaitent que la feuille de route définie à l’administrateur liquidateur leur soit dévoilée pour une question d’équité et de transparence.
La cellule syndicale des conseillers agricoles de l’Office Nationale de Développement Rural (ONDR) et du Programme National de Sécurité Alimentaire (PNSA) entend saisir dans les jours qui suivent le ministre de finances et de budgets afin de faire la lumière sur l’opportunité de financer cette opération de liquidation entourée de tout ce flou.
Le chargé de revendication de la cellule syndicale des conseillers agricoles de l’Office Nationale de Développement Rural (ONDR) et du Programme National de Sécurité Alimentaire (PNSA), Bagao Ndikwé Badinga a expliqué que le décret d’application de la loi portant création de l’ANADER dit que cette dernière aura besoin d’un personnel qualifié et réduit. Il a ajouté que cela n’a pas été la stupéfaction du citoyen lambda quand le ministre de la production, de l’irrigation et de l’équipement agricole a proposé la nomination de 14 directeurs en lieu et place des 5 responsables qui étaient à la tête des anciennes institutions, et la nomination de 10 chefs d’antenne, eux aussi avec rang de directeur.
« Que le ministre et le Secrétaire général, sachent que nos salaires ne serviront jamais au paiement des avances sur des commandes des pesticides ou d’engrais comme cela semble ostentatoirement leur priorité », a martelé le chargé de revendication de la cellule syndicale, Bagao Ndikwé Badinga.
Par ailleurs, la cellule syndicale demande au président du conseil d’administration de l’Agence Nationale du Développement Rural de s'obliger à observer les clauses de la loi n38/PR/96 portant code du travail et la convention collective générale qui exigent l’implication des délégués du personnel et de l’inspection du travail, et le respect des procédures de licenciement.