Le coordinateur du Front de l'opposition pour l'Alternance et le Changement (FONAC), Mahamat Ahmat Alhabo. Alwihda Info
Le coordinateur du Front de l'opposition pour l'Alternance et le Changement (FONAC), Mahamat Ahmat Alhabo a animé ce vendredi 29 septembre 2017, une conférence de presse relative à la situation socio-politique et économique du pays. Il a évoqué entre autres avec la presse le rappel à l'ordre de Paris pour l'organisation d'une élection législative, l'interdiction de la marche pacifique que tentent d'organiser les étudiants de l'École Nationale de formation judiciaire, la contre-conférence organisée à Paris par l'opposition et la société civile, la non prise en compte de la voix de l'opposition par la communauté internationale, et le décret migratoire interdisant aux ressortissants Tchadiens de fouler le sol américain.
Le Front de l'opposition pour l'Alternance et le Changement (FONAC) exige que l'argent des tchadiens, "volé et planqué" dans les paradis fiscaux soit intégralement rapatrié. Il a ajouté que les organisations de la société civile doivent entreprendre des démarches auprès des autorités canadiennes pour que ces biens mal acquis soient saisis, vendus et leurs produits restitués aux tchadiens.
Par ailleurs, il dénonce ce paradoxe et cette absurdité qui consiste à cacher l'argent du Tchad dans les paradis fiscaux et à s'endetter par la suite pour hypothéquer l'avenir du pays.
En outre, le FONAC exige que la liste des faux diplômés soit rendue public, que ces faussaires soient radiés des rangs réguliers de la fonction publique et poursuivis comme des délinquants ayant commis le faux et l'usage de faux. A ce titre, dit-il, ils ont détourné des derniers publics en se faisant verser des salaires indus pendant des années qu'ils doivent rembourser.
Pour le Front de l'opposition pour l'Alternance et le Changement (FONAC), l'Agence Nationale de Sécurité (l'ANS) agit en violation du code de procédure et du code pénal. Elle arrête et enlève les tchadiens, les soumets à des tortures humiliantes et dégradantes, les embastilles aussi longtemps qu'elle le souhaite, et les "refiles" à la justice qui les condamnent à la peine qu'elle lui indique.
Selon lui, dans ces macabres pratiques, beaucoup de tchadiens ont perdu leur vie. Le coordinateur du Front de l'opposition pour l'Alternance et le Changement (FONAC), Mahamat Ahmat Alhabo a indiqué que le régime du MPS ne tolère pas la critique, et ne supporte pas la contradiction.
Il a souligné que dans le quotidien des tchadiens, les crimes et les délits sont les faits des autorités en charge de la gestion des biens communs et de l'administration de la cité. « Telle est la nature de la démocratie que Déby et les siens jaspinent sur tous les toits. Au Tchad, il n'y a pas de démocratie, on a plutôt affaire à une proto-démocratie oppressive et violente qui bafoue toutes les lois qu'elles soient nationales ou internationales », martèle-t-il.
Le coordinateur du FONAC, Mahamat Ahmat Alhabo souligne que « tout le monde a entendu que la délégation est partie les poches vides et elle est revenue les poches pleines. Parfait. Puisque les poches sont pleines, le FONAC exige que les 16 mesures injustes infligées aux pauvres tchadiens soient levées sans délai. Que les bourses des étudiants soient immédiatement rétablies, que les arriérés de salaire des agents de l’État soient tout de suite versés, que la dette intérieure des opérateurs soient payés et que le gel des effets financiers des avancements de fonctionnaire soit levé ».
Le FONAC propose au président Deby l'organisation d'un dialogue inclusif, seul susceptible de créer la condition d'une bonne gouvernance basée sur la justice sociale. Toutefois, il réitère sa position pour dire que la tenue du forum national n'est pas l'urgence du moment, quand beaucoup de tchadiens vivent dans la pauvreté et la misère.
Le coordinateur du FONAC, Mahamat Ahmat Alhabo explique que le décret migratoire interdisant aux tchadiens de fouler le sol américain est le résultat de la politique calamiteuse de Déby, tout en regrettant que le nom du Tchad soit ainsi sali et les citoyens tchadiens injustement punis.
Le Front de l'opposition pour l'Alternance et le Changement (FONAC) exige que l'argent des tchadiens, "volé et planqué" dans les paradis fiscaux soit intégralement rapatrié. Il a ajouté que les organisations de la société civile doivent entreprendre des démarches auprès des autorités canadiennes pour que ces biens mal acquis soient saisis, vendus et leurs produits restitués aux tchadiens.
Par ailleurs, il dénonce ce paradoxe et cette absurdité qui consiste à cacher l'argent du Tchad dans les paradis fiscaux et à s'endetter par la suite pour hypothéquer l'avenir du pays.
En outre, le FONAC exige que la liste des faux diplômés soit rendue public, que ces faussaires soient radiés des rangs réguliers de la fonction publique et poursuivis comme des délinquants ayant commis le faux et l'usage de faux. A ce titre, dit-il, ils ont détourné des derniers publics en se faisant verser des salaires indus pendant des années qu'ils doivent rembourser.
Pour le Front de l'opposition pour l'Alternance et le Changement (FONAC), l'Agence Nationale de Sécurité (l'ANS) agit en violation du code de procédure et du code pénal. Elle arrête et enlève les tchadiens, les soumets à des tortures humiliantes et dégradantes, les embastilles aussi longtemps qu'elle le souhaite, et les "refiles" à la justice qui les condamnent à la peine qu'elle lui indique.
Selon lui, dans ces macabres pratiques, beaucoup de tchadiens ont perdu leur vie. Le coordinateur du Front de l'opposition pour l'Alternance et le Changement (FONAC), Mahamat Ahmat Alhabo a indiqué que le régime du MPS ne tolère pas la critique, et ne supporte pas la contradiction.
Il a souligné que dans le quotidien des tchadiens, les crimes et les délits sont les faits des autorités en charge de la gestion des biens communs et de l'administration de la cité. « Telle est la nature de la démocratie que Déby et les siens jaspinent sur tous les toits. Au Tchad, il n'y a pas de démocratie, on a plutôt affaire à une proto-démocratie oppressive et violente qui bafoue toutes les lois qu'elles soient nationales ou internationales », martèle-t-il.
Le coordinateur du FONAC, Mahamat Ahmat Alhabo souligne que « tout le monde a entendu que la délégation est partie les poches vides et elle est revenue les poches pleines. Parfait. Puisque les poches sont pleines, le FONAC exige que les 16 mesures injustes infligées aux pauvres tchadiens soient levées sans délai. Que les bourses des étudiants soient immédiatement rétablies, que les arriérés de salaire des agents de l’État soient tout de suite versés, que la dette intérieure des opérateurs soient payés et que le gel des effets financiers des avancements de fonctionnaire soit levé ».
Le FONAC propose au président Deby l'organisation d'un dialogue inclusif, seul susceptible de créer la condition d'une bonne gouvernance basée sur la justice sociale. Toutefois, il réitère sa position pour dire que la tenue du forum national n'est pas l'urgence du moment, quand beaucoup de tchadiens vivent dans la pauvreté et la misère.
Le coordinateur du FONAC, Mahamat Ahmat Alhabo explique que le décret migratoire interdisant aux tchadiens de fouler le sol américain est le résultat de la politique calamiteuse de Déby, tout en regrettant que le nom du Tchad soit ainsi sali et les citoyens tchadiens injustement punis.