Dans son discours, Ali M'bodou Djibrine a souligné que le Tchad, conformément aux engagements pris par d'autres pays membres des Nations Unies, adhère pleinement aux textes internationaux visant à protéger les individus contre toutes formes de violence basée sur le genre (VBG). Il a mentionné le code pénal révisé adopté en 2017, qui punit les auteurs de VBG et de violence familiale, ainsi que la feuille de route de 2016 pour combattre le mariage des enfants, soutenue par la plateforme interconfessionnelle des religieux.
Le secrétaire général a également mis en avant l'engagement du gouvernement, sous la direction du Président Mahamat Idriss Déby Itno, qui a promu la ministre de la Femme et de la Protection de la Petite Enfance au rang de Ministre d'État. Ce geste reflète la volonté du gouvernement de créer un environnement sécuritaire pour les femmes, tant à la maison qu'au travail. Un quota de 30% a été fixé pour la représentation des femmes dans les postes électifs et nominatifs, visant à réduire l'inégalité de genre sur le marché du travail.
Dr. Mahadi Saleh, délégué à la femme et à la petite enfance, a rappelé que la violence contre les femmes et les filles n'est pas seulement une violation des droits humains, mais également un obstacle majeur à l'égalité et au développement durable. Il a partagé des statistiques préoccupantes :
Une femme sur trois a été victime de violence physique ou sexuelle au cours de sa vie.
Au Tchad, environ 60% des filles sont mariées avant l'âge de 18 ans, l'un des taux les plus élevés au monde.
29% des femmes tchadiennes ont subi des violences physiques de la part de leur partenaire intime.
Ces statistiques soulignent l'urgence d'agir pour protéger les femmes et les filles et éradiquer la violence à leur encontre. Dr. Saleh a appelé à intensifier les efforts et à adopter des mesures concrètes pour mettre fin à ces violences.
Le lancement des "16 Jours d'Activisme" au Sila représente une étape cruciale dans la lutte contre les violences faites aux femmes au Tchad, mobilisant les autorités et la société civile pour un changement durable.
Le secrétaire général a également mis en avant l'engagement du gouvernement, sous la direction du Président Mahamat Idriss Déby Itno, qui a promu la ministre de la Femme et de la Protection de la Petite Enfance au rang de Ministre d'État. Ce geste reflète la volonté du gouvernement de créer un environnement sécuritaire pour les femmes, tant à la maison qu'au travail. Un quota de 30% a été fixé pour la représentation des femmes dans les postes électifs et nominatifs, visant à réduire l'inégalité de genre sur le marché du travail.
Dr. Mahadi Saleh, délégué à la femme et à la petite enfance, a rappelé que la violence contre les femmes et les filles n'est pas seulement une violation des droits humains, mais également un obstacle majeur à l'égalité et au développement durable. Il a partagé des statistiques préoccupantes :
Une femme sur trois a été victime de violence physique ou sexuelle au cours de sa vie.
Au Tchad, environ 60% des filles sont mariées avant l'âge de 18 ans, l'un des taux les plus élevés au monde.
29% des femmes tchadiennes ont subi des violences physiques de la part de leur partenaire intime.
Ces statistiques soulignent l'urgence d'agir pour protéger les femmes et les filles et éradiquer la violence à leur encontre. Dr. Saleh a appelé à intensifier les efforts et à adopter des mesures concrètes pour mettre fin à ces violences.
Le lancement des "16 Jours d'Activisme" au Sila représente une étape cruciale dans la lutte contre les violences faites aux femmes au Tchad, mobilisant les autorités et la société civile pour un changement durable.