Alors que des rumeurs et des spéculations circulaient sur les réseaux sociaux, le ministre a tenu à rassurer la population et à fournir une version officielle des faits.
Un incident violent mais maîtrisé
Selon Abderaman Koulamallah, un groupe de 24 individus, décrit comme un « ramassis de bandes de nickeclés », a tenté de pénétrer dans l’enceinte de la Présidence. Ces assaillants, arrivés à bord d’un véhicule, ont été immobilisés suite à une panne mécanique devant le Palais. Profitant de cette situation, ils sont descendus de manière violente, armés de couteaux et de coupe-coupe, et ont attaqué les gardes présents sur les lieux.
« Ils ont poignardé quatre gardes, tuant l’un d’eux et blessant grièvement deux autres. Un quatrième garde a également été blessé, mais sa vie n’est pas en danger », a expliqué le ministre. Les assaillants ont réussi à pénétrer à une courte distance à l’intérieur de la Présidence avant d’être neutralisés par les forces de sécurité.
Un groupe désorganisé et sous influence
Le ministre a révélé que les assaillants étaient visiblement sous l’emprise de l’alcool et de la drogue. « Nous avons trouvé sur eux de petites bouteilles d’alcool, probablement du whisky, ainsi que des traces de drogue. Ils étaient complètement désorientés », a-t-il déclaré. Sur les 24 individus, 18 ont été tués lors de l’affrontement, tandis que les six survivants ont été arrêtés et placés entre les mains de la justice.
Abderaman Koulamallah a écarté la piste terroriste, qualifiant l’attaque de « tentative désordonnée et incompréhensible ». « Ce ne sont pas des terroristes. Ils n’avaient aucune arme de guerre, seulement des armes blanches et des amulettes. On dirait qu’on leur a dit que les balles n’auraient aucun effet sur eux, mais manifestement, ce n’était pas le cas », a-t-il ironisé.
Transparence et appel au calme
Le ministre a insisté sur la transparence du gouvernement dans la gestion de cet incident. « Le président de la République, Mahamat Idriss Déby Itno, tient à ce que la population soit rassurée. Il n’y a aucune menace pour les institutions de la République ou pour la sécurité du pays », a-t-il affirmé. Il a également salué la réactivité et la bravoure des forces de défense et de sécurité, qui ont rapidement maîtrisé la situation.
« Je suis arrivé sur les lieux peu après les coups de feu, et j’ai été impressionné par le dispositif militaire déployé. Nous avons une très bonne armée, et les Tchadiens peuvent dormir sur leurs deux oreilles. Notre pays est bien gardé », a-t-il déclaré avec fierté.
Une enquête en cours
Le ministre a indiqué que le procureur de la République fournirait des explications plus détaillées dans les heures à venir. Il a également refusé de divulguer des informations spécifiques sur l’origine des assaillants, invoquant les besoins de l’enquête. « Ils semblent venir d’un quartier de N’Djamena, mais je ne donnerai pas plus de détails pour ne pas compromettre les investigations », a-t-il précisé.
Bien que l’attaque ait été qualifiée de « désespérée » et « prêtant presque à sourire » par son manque d’organisation, le ministre a reconnu la gravité de l’incident. « Malheureusement, des jeunes ont perdu la vie dans cette tentative insensée. C’est une tragédie, mais il est important de ne pas céder à la panique ou aux spéculations », a-t-il souligné.
Un incident violent mais maîtrisé
Selon Abderaman Koulamallah, un groupe de 24 individus, décrit comme un « ramassis de bandes de nickeclés », a tenté de pénétrer dans l’enceinte de la Présidence. Ces assaillants, arrivés à bord d’un véhicule, ont été immobilisés suite à une panne mécanique devant le Palais. Profitant de cette situation, ils sont descendus de manière violente, armés de couteaux et de coupe-coupe, et ont attaqué les gardes présents sur les lieux.
« Ils ont poignardé quatre gardes, tuant l’un d’eux et blessant grièvement deux autres. Un quatrième garde a également été blessé, mais sa vie n’est pas en danger », a expliqué le ministre. Les assaillants ont réussi à pénétrer à une courte distance à l’intérieur de la Présidence avant d’être neutralisés par les forces de sécurité.
Un groupe désorganisé et sous influence
Le ministre a révélé que les assaillants étaient visiblement sous l’emprise de l’alcool et de la drogue. « Nous avons trouvé sur eux de petites bouteilles d’alcool, probablement du whisky, ainsi que des traces de drogue. Ils étaient complètement désorientés », a-t-il déclaré. Sur les 24 individus, 18 ont été tués lors de l’affrontement, tandis que les six survivants ont été arrêtés et placés entre les mains de la justice.
Abderaman Koulamallah a écarté la piste terroriste, qualifiant l’attaque de « tentative désordonnée et incompréhensible ». « Ce ne sont pas des terroristes. Ils n’avaient aucune arme de guerre, seulement des armes blanches et des amulettes. On dirait qu’on leur a dit que les balles n’auraient aucun effet sur eux, mais manifestement, ce n’était pas le cas », a-t-il ironisé.
Transparence et appel au calme
Le ministre a insisté sur la transparence du gouvernement dans la gestion de cet incident. « Le président de la République, Mahamat Idriss Déby Itno, tient à ce que la population soit rassurée. Il n’y a aucune menace pour les institutions de la République ou pour la sécurité du pays », a-t-il affirmé. Il a également salué la réactivité et la bravoure des forces de défense et de sécurité, qui ont rapidement maîtrisé la situation.
« Je suis arrivé sur les lieux peu après les coups de feu, et j’ai été impressionné par le dispositif militaire déployé. Nous avons une très bonne armée, et les Tchadiens peuvent dormir sur leurs deux oreilles. Notre pays est bien gardé », a-t-il déclaré avec fierté.
Une enquête en cours
Le ministre a indiqué que le procureur de la République fournirait des explications plus détaillées dans les heures à venir. Il a également refusé de divulguer des informations spécifiques sur l’origine des assaillants, invoquant les besoins de l’enquête. « Ils semblent venir d’un quartier de N’Djamena, mais je ne donnerai pas plus de détails pour ne pas compromettre les investigations », a-t-il précisé.
Bien que l’attaque ait été qualifiée de « désespérée » et « prêtant presque à sourire » par son manque d’organisation, le ministre a reconnu la gravité de l’incident. « Malheureusement, des jeunes ont perdu la vie dans cette tentative insensée. C’est une tragédie, mais il est important de ne pas céder à la panique ou aux spéculations », a-t-il souligné.