À 7h ce matin, nous avons constaté que tout le personnel de la mairie était rassemblé devant le portail, les visages marqués par la fatigue et la frustration. Sur une pancarte blanche, un message résumait leur désespoir : "84 mois d'arriérés sans salaire, c'est trop."
Les revendications des grévistes sont simples et claires :
Mbairebeye Osée, Secrétaire général du Syndicat national des communes du Tchad (section de Bébédjia), a exprimé la frustration des grévistes : "Trop, c'est trop. Après 84 mois sans paiement, l'exécutif doit respecter ses engagements."
Le personnel accuse l'exécutif de promesses non tenues, les laissant dans une situation financière désastreuse. Malgré tout, ils se disent prêts à retourner à la table des négociations, mais attendent des solutions concrètes et rapides.
En attendant une issue favorable, le personnel de la mairie de Bébédjia reste mobilisé et déterminé à obtenir le paiement de leurs arriérés de salaire et une amélioration de leurs conditions de vie.
Les revendications des grévistes sont simples et claires :
- "Nos enfants n'ont pas accès à l'école."
- "Nous avons faim."
- "Nous sommes malades, sans accès aux soins médicaux."
Mbairebeye Osée, Secrétaire général du Syndicat national des communes du Tchad (section de Bébédjia), a exprimé la frustration des grévistes : "Trop, c'est trop. Après 84 mois sans paiement, l'exécutif doit respecter ses engagements."
Le personnel accuse l'exécutif de promesses non tenues, les laissant dans une situation financière désastreuse. Malgré tout, ils se disent prêts à retourner à la table des négociations, mais attendent des solutions concrètes et rapides.
En attendant une issue favorable, le personnel de la mairie de Bébédjia reste mobilisé et déterminé à obtenir le paiement de leurs arriérés de salaire et une amélioration de leurs conditions de vie.