TCHAD - Les étudiants de l’Université de N’Djaména se rebellent, c'est ce qu'on peut en déduire après les vadanlisme survenu hier matin très tôt dans certaines rues de la capitale tchadienne.
Les étudiants universitaires ont commis hier matin des actes de vandalisme dans les rues de la capitale pour, disent-ils, réclamer la « réparation de l’année blanche ».
Les jeunes étudiants s'en sont pris aux voitures de l'administration et celles des ONG (Organisation Non Gouvernementale) présentes au Tchad. Le Gouvernement tchadien a "vigoureusement" condamné ces actes.
Selon le ministre de l’Enseignement supérieur, Ahmad Taboye, « l’année blanche n’est pas un préjudice et ne se justifie pas en terme de réparation. Le Gouvernement rend responsable le bureau provisoire de l’Union des étudiants du Tchad (UNET) quant à la poursuite de la violence et du vandalisme. Les étudiants qui seront pris en flagrant délit individuellement ou collectivement répondront de leurs actes »
Les étudiants universitaires ont commis hier matin des actes de vandalisme dans les rues de la capitale pour, disent-ils, réclamer la « réparation de l’année blanche ».
Les jeunes étudiants s'en sont pris aux voitures de l'administration et celles des ONG (Organisation Non Gouvernementale) présentes au Tchad. Le Gouvernement tchadien a "vigoureusement" condamné ces actes.
Selon le ministre de l’Enseignement supérieur, Ahmad Taboye, « l’année blanche n’est pas un préjudice et ne se justifie pas en terme de réparation. Le Gouvernement rend responsable le bureau provisoire de l’Union des étudiants du Tchad (UNET) quant à la poursuite de la violence et du vandalisme. Les étudiants qui seront pris en flagrant délit individuellement ou collectivement répondront de leurs actes »