Depuis quelque temps, les tapages se font autour de 23ème édition de la fête de l’arrivé de MPS au pouvoir qui se fêtera le 20 décembre à Bongor, chef lieu de la région de Mayo-Kebbi Est, situé à 235 km de la capitale. En réalité, cette fête et tout ce qui l’accompagne semblent agacer les tchadiens à cause de son caractère politique. Comme toutes les régions qui ont accueilli précédemment cette fête, la région de Mayo-Kebbi va subir des propagandes politiques à son tour. Cette fête, qui se dit nationale, ressemble plutôt à celle d’un parti politique. Elle est une occasion de diviser les fils de la région et embarquer dans le bateau MPS, les âmes faibles qui ne résisteront pas à la tentation.
Des interventions politiques musclées et des apparitions médiatiques se succèdent sans préoccupation majeur des problèmes primo de la population de Bongor. C’est le cas du président d’organisation de la fête, Laouna Gong Raoul dans son allocution lors d’un point de presse organisé spécialement à Bongor à cet effet « … nous l’appelons bien la fête de 1er décembre, parce que au fil des ans, la fête de 1er décembre est passée d’une date de libération d’un peuple soumis et martyrisé à des rencontre de liesses … ». Cette affirmation confirme le manque d’intérêt aux problèmes de la population et du coup agace plus d’un. La fête de la liberté et de la démocratie devient ainsi une fête de division et de mobilisation politique pour les uns et de détournement de fond alloué à cette manifestation.
Des interventions politiques musclées et des apparitions médiatiques se succèdent sans préoccupation majeur des problèmes primo de la population de Bongor. C’est le cas du président d’organisation de la fête, Laouna Gong Raoul dans son allocution lors d’un point de presse organisé spécialement à Bongor à cet effet « … nous l’appelons bien la fête de 1er décembre, parce que au fil des ans, la fête de 1er décembre est passée d’une date de libération d’un peuple soumis et martyrisé à des rencontre de liesses … ». Cette affirmation confirme le manque d’intérêt aux problèmes de la population et du coup agace plus d’un. La fête de la liberté et de la démocratie devient ainsi une fête de division et de mobilisation politique pour les uns et de détournement de fond alloué à cette manifestation.