Le CCND est une initiative importante pour le développement économique du Tchad. Il permettra d'améliorer non seulement les infrastructures routières, mais aussi les connexions entre différentes régions du pays. Grâce à ce projet, il sera plus facile pour les entreprises d'acheminer leurs produits vers N'Djamena et d'autres villes de l'Afrique centrale.
Le Projet d’amélioration des performances du Corridor rail/route Douala-N’Djamena (PCDN) est un projet intégrateur visant à optimiser les infrastructures de transport reliant le Tchad et le Cameroun. Financé par la Banque Mondiale, la Banque Européenne d’Investissements et l’Union Européenne, le PCDN vise à remettre en état les axes routiers de N’Djamena à la frontière camerounaise, soit un linéaire de 577 km.
Les axes concernés par le projet sont N’Djaména-Guélendeng-Bongor-Kélo-Moundou-Koutéré. La route N’Djaména-Guélendeng subira une réhabilitation totale de la chaussée avec un dimensionnement en 2x2 voies à partir du rond-point Walia jusqu’au village Eténa, faisant de ce linéaire la pénétrante sud de la capitale. En plus de la réhabilitation routière, le PCDN prévoit la construction d’un pont à double voies d’une longueur de 72 mètres au niveau de Moulkou, à côté du pont existant à unique sens.
Le projet vise également à améliorer la sécurité routière en créant des aires de stationnement pour les conducteurs de camions et en renforçant les capacités ferroviaires. Le corridor Douala-N’Djamena concentre 35 % du PIB de ces deux pays et dessert 20 % de la population du Tchad et 35 % de celle du Cameroun123.
Ces investissements contribueront à la facilitation des échanges et à l’amélioration de la circulation des personnes, des marchandises et des services le long de cet axe vital pour les deux nations.
Le Projet d’amélioration des performances du Corridor rail/route Douala-N’Djamena (PCDN) est un projet intégrateur visant à optimiser les infrastructures de transport reliant le Tchad et le Cameroun. Financé par la Banque Mondiale, la Banque Européenne d’Investissements et l’Union Européenne, le PCDN vise à remettre en état les axes routiers de N’Djamena à la frontière camerounaise, soit un linéaire de 577 km.
Les axes concernés par le projet sont N’Djaména-Guélendeng-Bongor-Kélo-Moundou-Koutéré. La route N’Djaména-Guélendeng subira une réhabilitation totale de la chaussée avec un dimensionnement en 2x2 voies à partir du rond-point Walia jusqu’au village Eténa, faisant de ce linéaire la pénétrante sud de la capitale. En plus de la réhabilitation routière, le PCDN prévoit la construction d’un pont à double voies d’une longueur de 72 mètres au niveau de Moulkou, à côté du pont existant à unique sens.
Le projet vise également à améliorer la sécurité routière en créant des aires de stationnement pour les conducteurs de camions et en renforçant les capacités ferroviaires. Le corridor Douala-N’Djamena concentre 35 % du PIB de ces deux pays et dessert 20 % de la population du Tchad et 35 % de celle du Cameroun123.
Ces investissements contribueront à la facilitation des échanges et à l’amélioration de la circulation des personnes, des marchandises et des services le long de cet axe vital pour les deux nations.