
Le Secrétaire général du Réseau des Associations de Droit de l'Homme au Tchad (RADHT), Djidda Oumar, a indiqué ce jeudi, à l'occasion d'une conférence de presse à N'Djaména, que la violation des droits de l'homme au Tchad a considérablement diminuée.
"La création du ministère des Droits de l'Homme au Tchad a apporté un changement, aussi bien que le désarmement effectué à N'Djaména", a affirmé Djidda Oumar, qui estime que 90% des violations des droits de l'homme au Tchad sont dues à de l'impunité".
Il a toutefois ajouté que cet effort n'est pas suffisant, le gouvernement devant faire encore plus d'effort, notamment à l'Est du Tchad, à la frontière soudanaise, où rien n'a changé en matière de la violation des droits de l'homme.
"La création du ministère des Droits de l'Homme au Tchad a apporté un changement, aussi bien que le désarmement effectué à N'Djaména", a affirmé Djidda Oumar, qui estime que 90% des violations des droits de l'homme au Tchad sont dues à de l'impunité".
Il a toutefois ajouté que cet effort n'est pas suffisant, le gouvernement devant faire encore plus d'effort, notamment à l'Est du Tchad, à la frontière soudanaise, où rien n'a changé en matière de la violation des droits de l'homme.