Une année passe, une autre arrive et l’on parle de la rentrée scolaire, rien ne se ressemble. "Pour moi, ce point de presse est un moment emblématique en ce jour de la fête des enseignants et cela nous permet donc de traiter des enjeux de l’école", a affirmé Dionhouma Regine.
En cette période particulière, les élèves de même que les enfants après tant de jours passés à la maison, jugulent l’envie de la reprise des cours. Les enseignants et les directions pensent à comment réunir les efforts pour mieux transmettre les connaissances aux élèves pour leur permettre demain de s’insérer dans la société et après-demain la réinventer. Quant aux élèves ils sont prêts à reprendre avec les cours dans une ambiance de retrouvaille amicale.
L'on s'interroge si l’environnement tout entier est prêt à accueillir l’enfant. Le nettoyage des salles de classes, des toilettes, des multiples contraintes psycho-sociales importantes que rencontrent les élèves. Tout cela bouleverse passablement le quotidien de l’école.
L'article 369 du Code pénal énonce : « est puni d’une amende de 50 000 à 500 000 Fcfa, le parent qui refuse de faire inscrire son enfant à l’école ». Le refus d’inscrire un enfant en âge de scolarisation c’est-à-dire de 6 ans à l’école est un délit car il ne suffit pas de produire des enfants mais le comble serait de garantir leur éducation. "J’en appelle donc à une prise conscience des parents. Le besoin d’être instruit s’inscrit dans l’avenir quel que soit le métier qu’exercerons les jeunes. Je demande aux hommes de la loi de prêter main forte à l’avenir du Tchad qui sont ses enfants en appliquant cette loi", clame Dionhouma Regine.
"Aux enseignants, c’est lors des périodes de mutation que la formation doit assumer la plus haute fonction qui lui revient, celle de penser à la fois au changement, à la permanence et à l’orientation des élèves. Le paradoxe que vivent les enseignants nous le savons mais vous devez nécessairement garantir l’équité tout en visant l’objectif bien indiqué en matière de l’éducation. Que chaque enfant, chaque jeune puissent réaliser tout son potentiel quel que soit son origine, sa classe sociale et son genre et cela passe par une approche qui demande une démarche pédagogique et dynamique au bénéfice de tous les élèves", souligne-t-elle.
Dionhouma Regine lance un vibrant cri de cœur aux bienfaiteurs qui peuvent penser aux victimes des phénomènes naturels et involontaires, c'est-à-dire les orphelins. "Si vous en connaissez un, n’hésitez pas de lui venir en aide. Ils n’ont pas choisi de vivre cette situation", exhorte-t-elle.
Dionhouma Regine rend un hommage solennel aux enseignants car au-delà de l’aspect salaire et indemnité, ces soldats méritent le respect de tout leur peuple parce qu'ils forment des médecins, des ingénieurs, des avocats, des leaders, etc. Ils ont la capacité de transformer l’ignorant, l’analphabète en un véritable intellectuel.
En cette période particulière, les élèves de même que les enfants après tant de jours passés à la maison, jugulent l’envie de la reprise des cours. Les enseignants et les directions pensent à comment réunir les efforts pour mieux transmettre les connaissances aux élèves pour leur permettre demain de s’insérer dans la société et après-demain la réinventer. Quant aux élèves ils sont prêts à reprendre avec les cours dans une ambiance de retrouvaille amicale.
L'on s'interroge si l’environnement tout entier est prêt à accueillir l’enfant. Le nettoyage des salles de classes, des toilettes, des multiples contraintes psycho-sociales importantes que rencontrent les élèves. Tout cela bouleverse passablement le quotidien de l’école.
L'article 369 du Code pénal énonce : « est puni d’une amende de 50 000 à 500 000 Fcfa, le parent qui refuse de faire inscrire son enfant à l’école ». Le refus d’inscrire un enfant en âge de scolarisation c’est-à-dire de 6 ans à l’école est un délit car il ne suffit pas de produire des enfants mais le comble serait de garantir leur éducation. "J’en appelle donc à une prise conscience des parents. Le besoin d’être instruit s’inscrit dans l’avenir quel que soit le métier qu’exercerons les jeunes. Je demande aux hommes de la loi de prêter main forte à l’avenir du Tchad qui sont ses enfants en appliquant cette loi", clame Dionhouma Regine.
"Aux enseignants, c’est lors des périodes de mutation que la formation doit assumer la plus haute fonction qui lui revient, celle de penser à la fois au changement, à la permanence et à l’orientation des élèves. Le paradoxe que vivent les enseignants nous le savons mais vous devez nécessairement garantir l’équité tout en visant l’objectif bien indiqué en matière de l’éducation. Que chaque enfant, chaque jeune puissent réaliser tout son potentiel quel que soit son origine, sa classe sociale et son genre et cela passe par une approche qui demande une démarche pédagogique et dynamique au bénéfice de tous les élèves", souligne-t-elle.
Dionhouma Regine lance un vibrant cri de cœur aux bienfaiteurs qui peuvent penser aux victimes des phénomènes naturels et involontaires, c'est-à-dire les orphelins. "Si vous en connaissez un, n’hésitez pas de lui venir en aide. Ils n’ont pas choisi de vivre cette situation", exhorte-t-elle.
Dionhouma Regine rend un hommage solennel aux enseignants car au-delà de l’aspect salaire et indemnité, ces soldats méritent le respect de tout leur peuple parce qu'ils forment des médecins, des ingénieurs, des avocats, des leaders, etc. Ils ont la capacité de transformer l’ignorant, l’analphabète en un véritable intellectuel.