Officiellement, en coulisses, jamais une semaine ne peut passer sans que soit évoqué le nom de l’opposant dans les arcanes du pouvoir.
Le président de Transition, Mahamat Déby semble le plus hanté par l’opposant, jusqu’à lui offrir un motif d’orgueil. « J’occupe l’esprit du président de Transition. Ce dernier passe "80% de son temps à parler de ma modeste personne ».
Il y a quelques mois, le président taxait Masra de narcissique « se prenant pour le centre du monde, pressé d’être au pouvoir ». Mahamat Deby l'accuse aussi de « ranimer les tensions ethico-religieuses et sécessionnistes, au point d'en faire un fonds de commerce pour arriver au pouvoir ».
Plus récemment, il réitère : « en dehors du 7ème et 9ème arrondissement, Succès Masra ne connait rien du Tchad et ne représente presque rien. C’est un pur phénomène des réseaux sociaux et de quelques ONG partisanes ». Ces allégations à répétition cachent mal des remords.
En effet, depuis que le rapport de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) a accablé le gouvernement en sus de celui de Human Rights Watch, le gouvernement (il n’est un secret pour personne), en veut terriblement à celui qui avait appelé à manifester le lugubre 20 octobre.
Ironie du sort, l’opposant qui n’est connu que dans deux arrondissements de la capitale resurgit curieusement à Kélo, à près de 400 kilomètres au sud du pays. Une mission conduite par l’ancien activiste Abel Maïna, pour vulgariser la paix, reçoit la démission des membres du parti Les Transformateurs de Masra Succès.
Les militants du parti qui, de l’avis du gouvernement et de ses alliés, perturberait la paix, ont opéré « un choix responsable ». Comme dans les arcanes du pouvoir, son ancien compagnon Moustapha Masri qui a pris langue avec le gouvernement, ressasse incessamment le nom de l'opposant. « Masra est prêt à tout pour le pouvoir », « je le connais mieux que quiconque ».
Dans ce registre, s'inscrit l'ancien virulent activiste Brahim Oguelemi. Jouant le nouveau défenseur du gouvernement de Transition, détruire « la horde fanatique et extrémiste des Transformateurs », semble la mission à lui dévolue. Il est par conséquent obnubilé par Masra Succès.
Le président de Transition, Mahamat Déby semble le plus hanté par l’opposant, jusqu’à lui offrir un motif d’orgueil. « J’occupe l’esprit du président de Transition. Ce dernier passe "80% de son temps à parler de ma modeste personne ».
Il y a quelques mois, le président taxait Masra de narcissique « se prenant pour le centre du monde, pressé d’être au pouvoir ». Mahamat Deby l'accuse aussi de « ranimer les tensions ethico-religieuses et sécessionnistes, au point d'en faire un fonds de commerce pour arriver au pouvoir ».
Plus récemment, il réitère : « en dehors du 7ème et 9ème arrondissement, Succès Masra ne connait rien du Tchad et ne représente presque rien. C’est un pur phénomène des réseaux sociaux et de quelques ONG partisanes ». Ces allégations à répétition cachent mal des remords.
En effet, depuis que le rapport de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) a accablé le gouvernement en sus de celui de Human Rights Watch, le gouvernement (il n’est un secret pour personne), en veut terriblement à celui qui avait appelé à manifester le lugubre 20 octobre.
Ironie du sort, l’opposant qui n’est connu que dans deux arrondissements de la capitale resurgit curieusement à Kélo, à près de 400 kilomètres au sud du pays. Une mission conduite par l’ancien activiste Abel Maïna, pour vulgariser la paix, reçoit la démission des membres du parti Les Transformateurs de Masra Succès.
Les militants du parti qui, de l’avis du gouvernement et de ses alliés, perturberait la paix, ont opéré « un choix responsable ». Comme dans les arcanes du pouvoir, son ancien compagnon Moustapha Masri qui a pris langue avec le gouvernement, ressasse incessamment le nom de l'opposant. « Masra est prêt à tout pour le pouvoir », « je le connais mieux que quiconque ».
Dans ce registre, s'inscrit l'ancien virulent activiste Brahim Oguelemi. Jouant le nouveau défenseur du gouvernement de Transition, détruire « la horde fanatique et extrémiste des Transformateurs », semble la mission à lui dévolue. Il est par conséquent obnubilé par Masra Succès.