Depuis quelques temps les n’djaménois croient bien qu’à l’égard de la décision prise par le ministère de défense interdisant à tout militaire de porter la tenue en dehors des heures de service est le signe du retour de la sécurité dans la capitale, plus précisément des gaffes dans les rues, cabarets, des bars doivent cesser. Aussi, croit-on qu’avec la tenue du forum national sur la situation des droits de l’homme au Tchad, des attitudes agressives allaient s’atténuer. Or remarque-t-on plutôt la situation s’empire ça se dégrade et ça devient de plus en plus complexe qu’avant. La population, elle ne sait à quel saint se vouer et elle frémit lorsqu’elle fait face à un homme en treillis. A quand le Tchad mettra fin définitivement à l’insécurité et à la violence aux droits de l’homme ?
Ngaba Innocent, habitant à moursal , militaire de son état, était victime d’une torture horrible, ce vendre 5 mars dernier au rond point centenaire. Cet acte affreux, cruel crapuleux a été certes l’œuvre des éléments GMIP. Selon des sources affirmatives, les éléments GMIP auraient insulté la victime qui transportait de fagots derrière son vélo pour sa famille. Ne pouvant supporter cette agression qui n’a pas de sources bien connues, Ngaba rétorque, lui aussi, en les insultant avec des mains. La seconde équipe qui vient par derrière s’arrête et le prend en otage. Ils l’ont rossé surplace et l’ont trainé à l’école nationale de police. Là, semble-t-il que les coups de bâton, des coups de cross étaient au menu du jour pour ngaba. Son vélo, fagot ainsi que ses bourreaux sont jusqu’à là, introuvables. Ngaba se trouve actuellement dans un centre de santé de la place pour ses soins intensifs. « Il a de troubles crâniens et deux des os de sa colonne vertébrale sautés et irréparables rassure son médecin soignant » rapporte l’un des ses parents. Elysé François
Ngaba Innocent, habitant à moursal , militaire de son état, était victime d’une torture horrible, ce vendre 5 mars dernier au rond point centenaire. Cet acte affreux, cruel crapuleux a été certes l’œuvre des éléments GMIP. Selon des sources affirmatives, les éléments GMIP auraient insulté la victime qui transportait de fagots derrière son vélo pour sa famille. Ne pouvant supporter cette agression qui n’a pas de sources bien connues, Ngaba rétorque, lui aussi, en les insultant avec des mains. La seconde équipe qui vient par derrière s’arrête et le prend en otage. Ils l’ont rossé surplace et l’ont trainé à l’école nationale de police. Là, semble-t-il que les coups de bâton, des coups de cross étaient au menu du jour pour ngaba. Son vélo, fagot ainsi que ses bourreaux sont jusqu’à là, introuvables. Ngaba se trouve actuellement dans un centre de santé de la place pour ses soins intensifs. « Il a de troubles crâniens et deux des os de sa colonne vertébrale sautés et irréparables rassure son médecin soignant » rapporte l’un des ses parents. Elysé François