Dans son allocution, Abderrahim Biremé Hamid a souligné avoir initié plusieurs réformes et innovations au sein du secteur judiciaire. Toutefois, il n’est pas entré dans les détails des réalisations, préférant laisser ses collaborateurs éclairer sur les dossiers en cours. Il a exprimé sa confiance envers son successeur, saluant sa dynamique et son savoir-faire, et affirmant qu’il ne doutait pas de ses compétences pour relever les défis à venir et proposer des solutions adaptées au redressement du secteur judiciaire tchadien.
De son côté, le ministre entrant, Youssouf Tom, a reconnu l’ampleur des défis qui l’attendent et a appelé à l’implication de tous ses collaborateurs pour les relever efficacement. Il a souligné que de nombreux Tchadiens ont perdu confiance dans le système judiciaire, en raison des dysfonctionnements qui l'affectent.
Il a rappelé que les États généraux de la justice organisés en 2003 avaient suscité de grands espoirs, mais que la mise en œuvre partielle de leurs recommandations avait laissé ces attentes insatisfaites. Il a insisté sur le fait que la justice est un pilier fondamental de la démocratie et de l'État de droit, et que tous les acteurs doivent œuvrer à restaurer la confiance des citoyens.
De son côté, le ministre entrant, Youssouf Tom, a reconnu l’ampleur des défis qui l’attendent et a appelé à l’implication de tous ses collaborateurs pour les relever efficacement. Il a souligné que de nombreux Tchadiens ont perdu confiance dans le système judiciaire, en raison des dysfonctionnements qui l'affectent.
Il a rappelé que les États généraux de la justice organisés en 2003 avaient suscité de grands espoirs, mais que la mise en œuvre partielle de leurs recommandations avait laissé ces attentes insatisfaites. Il a insisté sur le fait que la justice est un pilier fondamental de la démocratie et de l'État de droit, et que tous les acteurs doivent œuvrer à restaurer la confiance des citoyens.