Les services de renseignements militaire tchadien auraient détecté un trafic d'armes impliquant des militaires français de l'opération Barkhane, ce qui serait à l'origine des échanges de tirs entre militaires tchadiens et français, d'après une source militaire.
Les militaires français achèteraient des armes pour chercher probablement à destabiliser le pouvoir en appuyant une insurrection qui serait entrain d'être préparée par une partie de la société civile et de l'opposition politique interne et externe, contre le pouvoir tchadien.
Une frange de la société civile de plus en plus politisée et certains opposants dits démocratiques ont très clairement fait savoir qu'ils militaient pour un changement de régime par une insurrection populaire, y compris par les armes, tout en misant leur espoir sur l'opération Barkhane.
La société civile détiendrait dans son camp les radiés de l'armée ainsi que les démobilisés de la police qui s'apprêteraient à appuyer militairement ce complot sous prétexte d'un soulèvement populaire, avec la bénédiction de la France.
Ces armes achetées par les français viseraient très clairement à alimenter et soutenir une tentative de déstabilisation du Tchad et de ses institutions républicaines orchestrées par la société civile tchadienne et de certains opposants tchadiens, avec la complicité de certains médias locaux au moment venu.
La présence militaire étrangère n'a jamais contribué à apaiser les tensions mais elle a toujours contribuer à les exacerber. Les interventions militaires ont provoqué et exacerbé le génocide au Rwanda, la guerre confessionnelle en RCA et une probable division du Mali, sans compter le nombre de morts.
Les autorités Tchadiennes, d'après l'évolution de l'enquête, établiraient la responsabilité du Quai d'Orsay, mais auraient mis un terme à la poursuite de l'enquête pour éviter un couac diplomatique.
Une autre source donne une version des faits différente. Il s'agirait en réalité de certains proches du régime, appartenant à la garde présidentielle qui voulaient acheter des pistolets avec certaines de leurs connaissances parmi les militaires français. Dans la journée du vendredi 27 mars, un premier rendez-vous a lieu pour la remise de l'argent. Les militaires français auraient promis de livrer les pistolets aux tchadiens après avoir récupéré l'argent.
Lors du second rendez-vous, dans la journée du vendredi 27 mars dernier, pour la remise des pistolets, les soldats français seraient revenus armés dans le but d'intimider ces derniers, tout en refusant d'honorer leur promesse. La tension monte mais les membres de la garde présidentielle repartent bredouilles et préparèrent une attaque contre les militaires français, dans la nuit du vendredi 27 mars à samedi 28 mars.
La nuit, les proches du régime auraient positionné un éclaireur à l'entrée de la boite de nuit "Number One" afin de signaler la sortie de l'officier français de l'opération Barkhane. En effet, les connaissances auraient l'habitude de se rencontrer et d'échanger au "Number One", un night club de N'Djamena.
Une fois les militaires français sortis du "Night club", l'eclaireur aurait alerté ses collègues armés sur l'itinéraire emprunté par les militaires français. Les proches du pouvoir, armés, se sont positionnés tout proche de la direction de l'ANS (Agence Nationale de la Sécurité) et ont ouvert le feu, suivi de tirs nourris contre le véhicule transportant les militaires français, en les prenants en tenaille. Les militaires français, également armés, vont riposter. Un bref échange de tirs va s'en suivre entre les deux parties.
Pour deformer la réalité, les tchadiens impliqués auraient saisi un haut gradé de la sécurité afin de donner une autre version tronquée des faits, apprend-on auprès d'une source sécuritaire. Ces soldats français agissant dans l'illégalité ne voudraient pas que le ministère de la défense s'imprègne de l'affaire.
Les militaires français achèteraient des armes pour chercher probablement à destabiliser le pouvoir en appuyant une insurrection qui serait entrain d'être préparée par une partie de la société civile et de l'opposition politique interne et externe, contre le pouvoir tchadien.
Une frange de la société civile de plus en plus politisée et certains opposants dits démocratiques ont très clairement fait savoir qu'ils militaient pour un changement de régime par une insurrection populaire, y compris par les armes, tout en misant leur espoir sur l'opération Barkhane.
La société civile détiendrait dans son camp les radiés de l'armée ainsi que les démobilisés de la police qui s'apprêteraient à appuyer militairement ce complot sous prétexte d'un soulèvement populaire, avec la bénédiction de la France.
Ces armes achetées par les français viseraient très clairement à alimenter et soutenir une tentative de déstabilisation du Tchad et de ses institutions républicaines orchestrées par la société civile tchadienne et de certains opposants tchadiens, avec la complicité de certains médias locaux au moment venu.
La présence militaire étrangère n'a jamais contribué à apaiser les tensions mais elle a toujours contribuer à les exacerber. Les interventions militaires ont provoqué et exacerbé le génocide au Rwanda, la guerre confessionnelle en RCA et une probable division du Mali, sans compter le nombre de morts.
Les autorités Tchadiennes, d'après l'évolution de l'enquête, établiraient la responsabilité du Quai d'Orsay, mais auraient mis un terme à la poursuite de l'enquête pour éviter un couac diplomatique.
Une autre source donne une version des faits différente. Il s'agirait en réalité de certains proches du régime, appartenant à la garde présidentielle qui voulaient acheter des pistolets avec certaines de leurs connaissances parmi les militaires français. Dans la journée du vendredi 27 mars, un premier rendez-vous a lieu pour la remise de l'argent. Les militaires français auraient promis de livrer les pistolets aux tchadiens après avoir récupéré l'argent.
Lors du second rendez-vous, dans la journée du vendredi 27 mars dernier, pour la remise des pistolets, les soldats français seraient revenus armés dans le but d'intimider ces derniers, tout en refusant d'honorer leur promesse. La tension monte mais les membres de la garde présidentielle repartent bredouilles et préparèrent une attaque contre les militaires français, dans la nuit du vendredi 27 mars à samedi 28 mars.
La nuit, les proches du régime auraient positionné un éclaireur à l'entrée de la boite de nuit "Number One" afin de signaler la sortie de l'officier français de l'opération Barkhane. En effet, les connaissances auraient l'habitude de se rencontrer et d'échanger au "Number One", un night club de N'Djamena.
Une fois les militaires français sortis du "Night club", l'eclaireur aurait alerté ses collègues armés sur l'itinéraire emprunté par les militaires français. Les proches du pouvoir, armés, se sont positionnés tout proche de la direction de l'ANS (Agence Nationale de la Sécurité) et ont ouvert le feu, suivi de tirs nourris contre le véhicule transportant les militaires français, en les prenants en tenaille. Les militaires français, également armés, vont riposter. Un bref échange de tirs va s'en suivre entre les deux parties.
Pour deformer la réalité, les tchadiens impliqués auraient saisi un haut gradé de la sécurité afin de donner une autre version tronquée des faits, apprend-on auprès d'une source sécuritaire. Ces soldats français agissant dans l'illégalité ne voudraient pas que le ministère de la défense s'imprègne de l'affaire.