Le Conseil Économique, Social et Culturel (CESC) a lancé officiellement, ce lundi 4 septembre, au Palais de 15 janvier, les activités de sa deuxième session placée sous le thème « Renforcer les capacités institutionnelles pour une croissance durable et inclusive », en présence du premier ministre, Pahimi Padacket Albert et d'autres personnalités présentes pour la circonstance.
La seconde session de l'année 2017 met l'accent sur une réflexion qui permet d'établir un diagnostic des principaux goulots d'étranglement qui impactent négativement la performance des institutions économiques du Tchad et celle de sa politique économique.
Elle vise à contribuer au renforcement des capacités nécessaires pour gérer efficacement les ressources rares disponibles aux fins de la réalisation d'une croissance économique durable et inclusive au Tchad.
La 2ème session ordinaire du Conseil Économique, Social et Culturel intervient dans un contexte ponctué sur le plan national par les effets de la crise économique et financière due à la chute drastique du prix de pétrole sur le marché international et les problèmes sécuritaires aux frontières qui ont contribué à réduire considérablement la capacité du secteur privé et des autres acteurs économiques à créer des richesses et des emplois, mais surtout celle de l'État à faire face à ses multiples obligations régaliennes.
En officiant la cérémonie d'ouverture de la seconde session ordinaire, le président du Conseil Économique, Social et Culturel, Abdramane Moucktar Mahamat a indiqué que les institutions économiques d'un pays constituent le principal déterminant de la croissance durable et inclusive, avant d'ajouter qu'elles forment les incitations auxquelles les acteurs économiques majeurs de la société sont soumis, car elles influencent les investissements dans le capital humain et physique, et l'organisation de la production. « L’inclusion sociale et la durabilité dans le processus de croissance sont nécessaires si le Tchad veut réaliser son plein potentiel de développement et devenir un pôle de croissance régionale dans les décennies à venir. Pour y parvenir, l'on se doit, pour le moins, de sonder les capacités institutionnelles existantes à remplir leur mission de façon rationnelle et efficace », a-t-il déclaré.
Les travaux de cette deuxième session sortiront des recommandations pertinentes, susceptibles de contribuer aux renforcements des capacités institutionnelles nécessaires à l'impulsion d'une croissance durable et inclusive lors de l’achèvement de la session le 18 septembre prochain.
La seconde session de l'année 2017 met l'accent sur une réflexion qui permet d'établir un diagnostic des principaux goulots d'étranglement qui impactent négativement la performance des institutions économiques du Tchad et celle de sa politique économique.
Elle vise à contribuer au renforcement des capacités nécessaires pour gérer efficacement les ressources rares disponibles aux fins de la réalisation d'une croissance économique durable et inclusive au Tchad.
La 2ème session ordinaire du Conseil Économique, Social et Culturel intervient dans un contexte ponctué sur le plan national par les effets de la crise économique et financière due à la chute drastique du prix de pétrole sur le marché international et les problèmes sécuritaires aux frontières qui ont contribué à réduire considérablement la capacité du secteur privé et des autres acteurs économiques à créer des richesses et des emplois, mais surtout celle de l'État à faire face à ses multiples obligations régaliennes.
En officiant la cérémonie d'ouverture de la seconde session ordinaire, le président du Conseil Économique, Social et Culturel, Abdramane Moucktar Mahamat a indiqué que les institutions économiques d'un pays constituent le principal déterminant de la croissance durable et inclusive, avant d'ajouter qu'elles forment les incitations auxquelles les acteurs économiques majeurs de la société sont soumis, car elles influencent les investissements dans le capital humain et physique, et l'organisation de la production. « L’inclusion sociale et la durabilité dans le processus de croissance sont nécessaires si le Tchad veut réaliser son plein potentiel de développement et devenir un pôle de croissance régionale dans les décennies à venir. Pour y parvenir, l'on se doit, pour le moins, de sonder les capacités institutionnelles existantes à remplir leur mission de façon rationnelle et efficace », a-t-il déclaré.
Les travaux de cette deuxième session sortiront des recommandations pertinentes, susceptibles de contribuer aux renforcements des capacités institutionnelles nécessaires à l'impulsion d'une croissance durable et inclusive lors de l’achèvement de la session le 18 septembre prochain.