Certains chantiers de bitumage connaissent en effet des difficultés pour libérer les emprises nécessaires aux travaux. Cela entrave considérablement l'avancement des travaux et empêche leur achèvement dans les délais prévus. Pour résoudre ces problèmes, le ministre souhaite collaborer étroitement avec la mairie centrale de N'Djamena.
Plusieurs cas concrets ont été évoqués lors de cette réunion. Par exemple, les travaux de bitumage de la rue Idriss Miskine dans le quartier Guinébor du 1er arrondissement ainsi que ceux du boulevard Bézo traversant le quartier Ridina du 5e arrondissement rencontrent d'importantes difficultés en raison du déguerpissement nécessaire pour libérer les emprises. De plus, les indemnisations versées en 2011 sont actuellement jugées surestimées.
Les riverains qui occupent illégalement l'espace public escomptent être compensés financièrement pour quitter les lieux. Un exemple concret est celui d'un individu ayant entrepris récemment des travaux sur l'emprise de la rue Idriss Miskine à Guinébor. Cette situation n'aide pas à faire avancer les travaux.
Un autre problème abordé lors de la réunion concerne l'empêchement du branchement des candélabres (éclairage public) sur une rue nouvellement bitumée dans le quartier Farcha. Le local du transformateur électrique, situé sur un espace public devant une concession, est actuellement inaccessible car le propriétaire terrien refuse de permettre son utilisation. Cette situation dure depuis déjà un an.
La mairie indique qu'elle se retrouve parfois confrontée à des documents judiciaires brandis par les propriétaires terriens, ce qui entrave souvent les actions de déguerpissement. Pour résoudre ces difficultés, un comité mixte sera mis en place.
D'autres problèmes ont été discutés lors de cette réunion, notamment le déversement des eaux usées sur les rues bitumées dans le quartier Mardjan-Daffack et l'exploitation illégale d'une carrière de remblais par l'entreprise CGCOC Group, pour laquelle la commune du 1er arrondissement exige le paiement des taxes communales.
La convention signée entre le ministère des Infrastructures et la mairie de la ville de N'Djamena le 10 janvier 2023 a également été abordée lors de cette réunion. Dans cette convention, le ministère apporte son soutien financier à la municipalité pour l'exercice de ses fonctions.
La maire affirme prendre note et s'engager à résoudre tous ces problèmes dans les plus brefs délais tout en tenant compte des orientations résultant de cette réunion fructueuse qui contribuera au développement urbain de N'Djamena.
Plusieurs cas concrets ont été évoqués lors de cette réunion. Par exemple, les travaux de bitumage de la rue Idriss Miskine dans le quartier Guinébor du 1er arrondissement ainsi que ceux du boulevard Bézo traversant le quartier Ridina du 5e arrondissement rencontrent d'importantes difficultés en raison du déguerpissement nécessaire pour libérer les emprises. De plus, les indemnisations versées en 2011 sont actuellement jugées surestimées.
Les riverains qui occupent illégalement l'espace public escomptent être compensés financièrement pour quitter les lieux. Un exemple concret est celui d'un individu ayant entrepris récemment des travaux sur l'emprise de la rue Idriss Miskine à Guinébor. Cette situation n'aide pas à faire avancer les travaux.
Un autre problème abordé lors de la réunion concerne l'empêchement du branchement des candélabres (éclairage public) sur une rue nouvellement bitumée dans le quartier Farcha. Le local du transformateur électrique, situé sur un espace public devant une concession, est actuellement inaccessible car le propriétaire terrien refuse de permettre son utilisation. Cette situation dure depuis déjà un an.
La mairie indique qu'elle se retrouve parfois confrontée à des documents judiciaires brandis par les propriétaires terriens, ce qui entrave souvent les actions de déguerpissement. Pour résoudre ces difficultés, un comité mixte sera mis en place.
D'autres problèmes ont été discutés lors de cette réunion, notamment le déversement des eaux usées sur les rues bitumées dans le quartier Mardjan-Daffack et l'exploitation illégale d'une carrière de remblais par l'entreprise CGCOC Group, pour laquelle la commune du 1er arrondissement exige le paiement des taxes communales.
La convention signée entre le ministère des Infrastructures et la mairie de la ville de N'Djamena le 10 janvier 2023 a également été abordée lors de cette réunion. Dans cette convention, le ministère apporte son soutien financier à la municipalité pour l'exercice de ses fonctions.
La maire affirme prendre note et s'engager à résoudre tous ces problèmes dans les plus brefs délais tout en tenant compte des orientations résultant de cette réunion fructueuse qui contribuera au développement urbain de N'Djamena.