S'il est un ministre qui défraie la chronique de par ses mensonges puériles, ses inepties, et surtout son incompétence, c'est bien Souleymane Abakar Adam, ministre déchu de la sécurité publique.
Insécurité permanente, détection des haineux
Il y a quelques semaines, le déchu ministre a miraculeusement échappé à une fusillade près de l'aéroport. Et comble du ridicule, les assaillants n'ont pas été retrouvés. Cette énième fusillade certifie l'insécurité permanente et surtout l'insultante liberté dont jouissent les criminels. Inutile de rappeler d'infinis autres cas de crime : des gorges tranchées, des tripes arrachées aux individus, de canardages en pleine journée dans les rues fourmillantes de la capitale... Et dans la plupart des cas, la police montre sa légendaire incapacité à retrouver les auteurs des crimes.
La fusillade de Monsieur Souleymane en question est probablement liée à l'affaire Ahmat et Khoudar Acyl, frères de l'ex-première dame soupçonnés d'avoir dépossédé un militaire de son terrain. Lequel militaire a été retrouvé mort dans une voiture. Le militaire "a monté un scenario" en se tirant expressément une balle dessus a affirmé le ministre lors d'une communication à la presse. Une affirmation qui n'a aucunement convaincu, même le plus niais des tchadiens.
Une autre stupidité à mettre au compte de Souleymane Abakar Adam : la formation de spécialistes en cybercriminalité pour détecter les propriétaires de faux comptes sur les réseaux sociaux afin de traduire en justice. Le ministre n'a visiblement pas d'autres chats à fouetter.
Routouang: entre suffisance et copinage
Les cadres du ministère de la jeunesse et des sports doivent soupirer un soulagement. "Enfin il est parti !"
Ces cadres n'ont réclamé que l'abrogation des arrêtés de nomination clientéliste à des postes de responsabilité au sein de ce ministère. A ces réclamations, le ministre a répondu par une indifférence et une arrogance révoltantes. Il s'est simplement fendu un communiqué pour informer les contestataires que les autres Tchadiens possèdent aussi l'inaliénable droit à une promotion même sans expériences sous ces tropiques.
Heureusement, le ciel exauce et curieusement quelquefois, de façon hâtive les vœux. Il offre plus gros aux cadres laissés sur le carreau : un limogeage contre abrogation !
Insécurité permanente, détection des haineux
Il y a quelques semaines, le déchu ministre a miraculeusement échappé à une fusillade près de l'aéroport. Et comble du ridicule, les assaillants n'ont pas été retrouvés. Cette énième fusillade certifie l'insécurité permanente et surtout l'insultante liberté dont jouissent les criminels. Inutile de rappeler d'infinis autres cas de crime : des gorges tranchées, des tripes arrachées aux individus, de canardages en pleine journée dans les rues fourmillantes de la capitale... Et dans la plupart des cas, la police montre sa légendaire incapacité à retrouver les auteurs des crimes.
La fusillade de Monsieur Souleymane en question est probablement liée à l'affaire Ahmat et Khoudar Acyl, frères de l'ex-première dame soupçonnés d'avoir dépossédé un militaire de son terrain. Lequel militaire a été retrouvé mort dans une voiture. Le militaire "a monté un scenario" en se tirant expressément une balle dessus a affirmé le ministre lors d'une communication à la presse. Une affirmation qui n'a aucunement convaincu, même le plus niais des tchadiens.
Une autre stupidité à mettre au compte de Souleymane Abakar Adam : la formation de spécialistes en cybercriminalité pour détecter les propriétaires de faux comptes sur les réseaux sociaux afin de traduire en justice. Le ministre n'a visiblement pas d'autres chats à fouetter.
Routouang: entre suffisance et copinage
Les cadres du ministère de la jeunesse et des sports doivent soupirer un soulagement. "Enfin il est parti !"
Ces cadres n'ont réclamé que l'abrogation des arrêtés de nomination clientéliste à des postes de responsabilité au sein de ce ministère. A ces réclamations, le ministre a répondu par une indifférence et une arrogance révoltantes. Il s'est simplement fendu un communiqué pour informer les contestataires que les autres Tchadiens possèdent aussi l'inaliénable droit à une promotion même sans expériences sous ces tropiques.
Heureusement, le ciel exauce et curieusement quelquefois, de façon hâtive les vœux. Il offre plus gros aux cadres laissés sur le carreau : un limogeage contre abrogation !