Lors de cette rencontre, le président de l’AMET, Bello Bakary Mana, a répondu aux questions de la presse et précisé : « Nous nous attendions à une invitation, mais nous avons reçu une convocation. Néanmoins, nous sommes prêts à dialoguer à tout moment avec la HAMA. Nous sommes venus accompagnés de notre avocat, Maître Madji Laoro Lucas, et avons découvert l’objet de la réunion, tel qu’indiqué dans la convocation. Nous avons discuté et réitéré que l’AMET agit de bonne foi. »
Un dialogue difficile
Bello Bakary Mana a également souligné que, malgré leur volonté de discuter, la HAMA n’a pas réagi à leurs précédentes communications. « Après notre communiqué et nos interventions médiatiques, la HAMA est restée murée dans un silence que nous avons perçu comme méprisant. Ce matin, nous avons reçu une convocation à laquelle nous avons répondu. Lors de la discussion, notre avocat a rappelé que, face au silence de la HAMA, nous avions saisi le tribunal administratif, tout en signifiant une nouvelle fois notre bonne foi. »
Cependant, selon l’AMET, la HAMA aurait décidé de suspendre le dialogue en raison de la saisie du tribunal administratif par l’association. « Avec nos collègues présents, nous avons précisé que ce n’est pas nous qui refusons le dialogue, mais eux. Pour leur part, la HAMA estime qu’elle ne peut pas dialoguer tant qu’un recours judiciaire est en cours », a expliqué le président de l’AMET.
Une porte toujours ouverte au dialogue
L’AMET affirme rester ouverte à la discussion, quel que soit le contexte. « Même si nous allons devant le tribunal, nous sommes prêts à dialoguer. Si demain matin ou même à minuit, la HAMA décide de revenir à une attitude conciliante, nous répondrons présents. La porte de l’AMET reste ouverte », a insisté Bello Bakary Mana.
Il faut rappeler que la réunion entre le bureau exécutif de l’AMET et la HAMA a débuté à 15h00 pour se terminer à 16h35.
Mécontentement exprimé par les médias en ligne
Au-delà de cette rencontre, plusieurs responsables de médias en ligne présents dans la cour de la HAMA ont exprimé leur mécontentement face à la situation actuelle, réclamant davantage de considération et de justice dans le traitement des acteurs du secteur.
Bello Bakary Mana a également souligné que, malgré leur volonté de discuter, la HAMA n’a pas réagi à leurs précédentes communications. « Après notre communiqué et nos interventions médiatiques, la HAMA est restée murée dans un silence que nous avons perçu comme méprisant. Ce matin, nous avons reçu une convocation à laquelle nous avons répondu. Lors de la discussion, notre avocat a rappelé que, face au silence de la HAMA, nous avions saisi le tribunal administratif, tout en signifiant une nouvelle fois notre bonne foi. »
Cependant, selon l’AMET, la HAMA aurait décidé de suspendre le dialogue en raison de la saisie du tribunal administratif par l’association. « Avec nos collègues présents, nous avons précisé que ce n’est pas nous qui refusons le dialogue, mais eux. Pour leur part, la HAMA estime qu’elle ne peut pas dialoguer tant qu’un recours judiciaire est en cours », a expliqué le président de l’AMET.
Une porte toujours ouverte au dialogue
L’AMET affirme rester ouverte à la discussion, quel que soit le contexte. « Même si nous allons devant le tribunal, nous sommes prêts à dialoguer. Si demain matin ou même à minuit, la HAMA décide de revenir à une attitude conciliante, nous répondrons présents. La porte de l’AMET reste ouverte », a insisté Bello Bakary Mana.
Il faut rappeler que la réunion entre le bureau exécutif de l’AMET et la HAMA a débuté à 15h00 pour se terminer à 16h35.
Mécontentement exprimé par les médias en ligne
Au-delà de cette rencontre, plusieurs responsables de médias en ligne présents dans la cour de la HAMA ont exprimé leur mécontentement face à la situation actuelle, réclamant davantage de considération et de justice dans le traitement des acteurs du secteur.