Tchad : Toupta Boguena dénonce une cabale, "Je suis protégée par le seigneur". © Alwihda Info
L'ex-ministre de la Santé publique Dr. Toupta Boguena a dénoncé samedi une cabale orchestrée contre sa personne, après les accusations d'agressions sexuelles portées contre elle par sa nièce Memadji Ariette et son grand-frère Tomtebaye Johnatan.
Elle a décidé de s'exprimer sur cette affaire et de "dire la vérité", quatre jours après avoir été blanchie par la Cour d'appel de N'Djamena.
"Une cabale où les enfants de ma cours ont ourdie pour me salir pour quelles causes, eux seuls connaissent. Mais pourquoi vouloir me salir à tout prix? Je suis protégée par le seigneur, et le Tout Puissant ne laisse jamais ses enfants périr sous l’épée de l’ennemie", a dit l'ex-secrétaire exécutif de l'Autorité du Bassin du Niger.
Elle explique avoir gardé le silence pour "laisser le temps à la population de comprendre elle-même les faits montés de toute pièce", "surtout que mes détracteurs ont choisi d’embarquer la population à travers les médias."
Elle a décidé de s'exprimer sur cette affaire et de "dire la vérité", quatre jours après avoir été blanchie par la Cour d'appel de N'Djamena.
"Une cabale où les enfants de ma cours ont ourdie pour me salir pour quelles causes, eux seuls connaissent. Mais pourquoi vouloir me salir à tout prix? Je suis protégée par le seigneur, et le Tout Puissant ne laisse jamais ses enfants périr sous l’épée de l’ennemie", a dit l'ex-secrétaire exécutif de l'Autorité du Bassin du Niger.
Elle explique avoir gardé le silence pour "laisser le temps à la population de comprendre elle-même les faits montés de toute pièce", "surtout que mes détracteurs ont choisi d’embarquer la population à travers les médias."
Tchad : Toupta Boguena dénonce une cabale, "Je suis protégée par le seigneur". © Alwihda Info
Toupta Boguena dénonce un acharnement
"J’ai été traité de tous les noms d’oiseau. Je ne me permettrai jamais de m’étendre ou de reprendre leur sales propos au risque de les ressembler. D’après tout ce qui a été raconté à mon propos, j’avais la conscience tranquille. Je suis innocente et je ne me reconnais pas dans ces pratiques obscures qu’ils cherchent à tout prix à me les coller", souligne l'enseignante-chercheur.
Elle déplore le traitement médiatique, sans aucune pensée aux conséquences sur ses enfants. "Des trucs de pornographie qu’ils trainent à longueur des journées dans leurs téléphones portables et leurs ordinateurs. Imaginez le tort que vous avez causé aux enfants au nom de votre acharnement pour ternir l’image de Toupta que je suis", s'indigne Toupta Boguena.
Toupta Bouguena dénonce également l'attitude de l'avocat de ses adversaires qui a fait état de faits établis. Dans le cadre de cette affaire, la brigade criminelle et la police judiciaire ont mené l'enquête pendant deux mois et demi, perquisitionné la résidence de l'ex-ministre et auditionné son personnel de maison.
Un ultimatum
"Mes détracteurs dans leur immaturité ont jeté des discrédits sur la justice tchadienne d’une manière générale et des juges chargés de cette affaire en particulier. (...) Mes détracteurs ont déjà commencé par avoir le châtiment du bon Dieu. Il faut savoir que tout se paye ici-bas. Rien ne peut rester éternellement impuni. (...) Malheureusement certains médias à la solde de ces individus mal intentionnés se sont donné le luxe de relayer des choses terribles comme celles-là qu’une personne normale ne peut jamais imaginer", estime Toupta Boguena.
Elle a donné cinq jours à sa nièce Mémadji Ariette et son grand frère Tomtébaye Johnatan pour lui adresser une lettre d’excuse accompagnée de la liste exhaustive de leur manipulateurs. "Au cas contraire, je laisserai la justice poursuivre sa mission", menace-t-elle, ajoutant que "cette machination n’entrave en rien, (son) engagement à se mettre résolument au service du Tchad partout où le besoin se fera sentir quoi que ces aigris égarés racontent."
"J’ai été traité de tous les noms d’oiseau. Je ne me permettrai jamais de m’étendre ou de reprendre leur sales propos au risque de les ressembler. D’après tout ce qui a été raconté à mon propos, j’avais la conscience tranquille. Je suis innocente et je ne me reconnais pas dans ces pratiques obscures qu’ils cherchent à tout prix à me les coller", souligne l'enseignante-chercheur.
Elle déplore le traitement médiatique, sans aucune pensée aux conséquences sur ses enfants. "Des trucs de pornographie qu’ils trainent à longueur des journées dans leurs téléphones portables et leurs ordinateurs. Imaginez le tort que vous avez causé aux enfants au nom de votre acharnement pour ternir l’image de Toupta que je suis", s'indigne Toupta Boguena.
Toupta Bouguena dénonce également l'attitude de l'avocat de ses adversaires qui a fait état de faits établis. Dans le cadre de cette affaire, la brigade criminelle et la police judiciaire ont mené l'enquête pendant deux mois et demi, perquisitionné la résidence de l'ex-ministre et auditionné son personnel de maison.
Un ultimatum
"Mes détracteurs dans leur immaturité ont jeté des discrédits sur la justice tchadienne d’une manière générale et des juges chargés de cette affaire en particulier. (...) Mes détracteurs ont déjà commencé par avoir le châtiment du bon Dieu. Il faut savoir que tout se paye ici-bas. Rien ne peut rester éternellement impuni. (...) Malheureusement certains médias à la solde de ces individus mal intentionnés se sont donné le luxe de relayer des choses terribles comme celles-là qu’une personne normale ne peut jamais imaginer", estime Toupta Boguena.
Elle a donné cinq jours à sa nièce Mémadji Ariette et son grand frère Tomtébaye Johnatan pour lui adresser une lettre d’excuse accompagnée de la liste exhaustive de leur manipulateurs. "Au cas contraire, je laisserai la justice poursuivre sa mission", menace-t-elle, ajoutant que "cette machination n’entrave en rien, (son) engagement à se mettre résolument au service du Tchad partout où le besoin se fera sentir quoi que ces aigris égarés racontent."