Le ministre de la Santé publique, Dr Abdelmadjid Abderahim, l'ambassadeur de France au Tchad, ainsi que les représentants de l'Agence Française de Développement et d'Expertise France, ont procédé à la signature d'un accord ce 29 juillet 2024 dans l'enceinte du ministère.
En effet, cet accord vise à assurer la continuité de l'accès du ministère de la Santé publique aux subventions du Fonds mondial et de Gavi dans la lutte contre les pandémies, et à renforcer l'impact de ses activités.
Selon l'ambassadeur de France au Tchad, Éric Gérard, cet accord se traduit par le renforcement d'un Dispositif d'Assistance Technique (DAT) composé de quatre experts mobilisés par Expertise France dans les domaines suivants : la gouvernance, la gestion des achats et stocks, la gestion financière, comptable et audit ainsi que le suivi et l'évaluation.
L'ambassadeur de France au Tchad indique que le DAT est fort d'expériences internationales et est accompagné par une équipe basée à Paris et à Ndjamena. Ainsi, il appuie quotidiennement l'unité de gestion de projets (UGP) du ministère de la Santé du Tchad et œuvre aussi pour le renforcement des capacités de l'équipe nationale, ainsi que le transfert des compétences dans la gestion des subventions du Fonds mondial de lutte contre le VIH/SIDA, le paludisme et la tuberculose.
Il explique également que le Dispositif d'Assistance Technique (DAT) complète et amplifie une offre française conséquente dans le secteur de la santé avec un budget de 845 528 570 francs CFA (1 289 000 euros) pour cette nouvelle année (2024-2025).
Le ministre de la Santé publique, Dr Abdelmadjid Abderahim, a tenu à exprimer sa gratitude à l'équipe d'Expertise France pour le soutien et le transfert des compétences. Il a également remercié la France pour ses multiples appuis dans les domaines de l'accès à l'eau et à l'éducation.
Le ministre de la Santé a profité de cette occasion pour souligner les difficultés auxquelles le Tchad fait face suite à l'accueil des réfugiés venus du Soudan. « Nous sommes confrontés à de multiples problèmes, la crise au Soudan, et la secte Boko Haram, mais l'appui de la communauté internationale n'est pas à la hauteur de nos attentes », a-t-il indiqué.
En effet, cet accord vise à assurer la continuité de l'accès du ministère de la Santé publique aux subventions du Fonds mondial et de Gavi dans la lutte contre les pandémies, et à renforcer l'impact de ses activités.
Selon l'ambassadeur de France au Tchad, Éric Gérard, cet accord se traduit par le renforcement d'un Dispositif d'Assistance Technique (DAT) composé de quatre experts mobilisés par Expertise France dans les domaines suivants : la gouvernance, la gestion des achats et stocks, la gestion financière, comptable et audit ainsi que le suivi et l'évaluation.
L'ambassadeur de France au Tchad indique que le DAT est fort d'expériences internationales et est accompagné par une équipe basée à Paris et à Ndjamena. Ainsi, il appuie quotidiennement l'unité de gestion de projets (UGP) du ministère de la Santé du Tchad et œuvre aussi pour le renforcement des capacités de l'équipe nationale, ainsi que le transfert des compétences dans la gestion des subventions du Fonds mondial de lutte contre le VIH/SIDA, le paludisme et la tuberculose.
Il explique également que le Dispositif d'Assistance Technique (DAT) complète et amplifie une offre française conséquente dans le secteur de la santé avec un budget de 845 528 570 francs CFA (1 289 000 euros) pour cette nouvelle année (2024-2025).
Le ministre de la Santé publique, Dr Abdelmadjid Abderahim, a tenu à exprimer sa gratitude à l'équipe d'Expertise France pour le soutien et le transfert des compétences. Il a également remercié la France pour ses multiples appuis dans les domaines de l'accès à l'eau et à l'éducation.
Le ministre de la Santé a profité de cette occasion pour souligner les difficultés auxquelles le Tchad fait face suite à l'accueil des réfugiés venus du Soudan. « Nous sommes confrontés à de multiples problèmes, la crise au Soudan, et la secte Boko Haram, mais l'appui de la communauté internationale n'est pas à la hauteur de nos attentes », a-t-il indiqué.