La Coordination des actions citoyennes Wakit Tamma a organisé une conférence de presse ce 18 février 2022 pour annoncer à ses militants le point de départ de sa marche prévue le 19 février prochain. La marche n'est finalement pas autorisée par les autorités publiques pour des raisons de non respect des procédures de formalités.
Le coordonnateur de Wakit Tamma Me Max Loalngar précise que c’est d’abord une marche qui a été autorisée mais pour des raisons liées aux formalités à la police, elle n'aura pas lieu. Parmi deux de leurs camarades qui avaient porté la demande de la marche, l’un d’eux était absent lors de la signature des documents habituels d'autorisation.
Me Max Loalngar relève que c’est une volonté du gouvernement d'empêcher l’expression de la liberté publique. Il promet d'introduire dès lundi prochain une autre demande pour l’autorisation d'une marche le 26 février prochain. La marche vise à revendiquer le respect de la vie humaine pour que certaines habitudes du gouvernement ne se reproduisent plus et que les libertés puissent être exprimées sans entraves.
"Dans un état de droit, il existe deux régimes de liberté : le régime préventif et le régime répressif", affirme Me Max Loalngar. Pour lui, en tant que juriste de formation, le régime répressif est le plus libéral possible parce qu’il y a la liberté d'organiser les manifestations, même sans prévenir mais si vous vous faites des casses, c’est en ce moment que vous êtes tenus pour responsables. Dans le régime répressif, c’est juste une lettre d’information qui est faite aux autorités pour leur permettre de prendre et d’assurer des mesures de sécurité afin d'encadrer la manifestation.
D'après Me Max Loalngar, au Tchad, "c'est un régime hybride qui n'est ni préventif ni répressif car ils ont l’habitude de dire non, une lettre d’information ne suffit pas il faut une autorisation".
Le coordonnateur de Wakit Tamma Me Max Loalngar précise que c’est d’abord une marche qui a été autorisée mais pour des raisons liées aux formalités à la police, elle n'aura pas lieu. Parmi deux de leurs camarades qui avaient porté la demande de la marche, l’un d’eux était absent lors de la signature des documents habituels d'autorisation.
Me Max Loalngar relève que c’est une volonté du gouvernement d'empêcher l’expression de la liberté publique. Il promet d'introduire dès lundi prochain une autre demande pour l’autorisation d'une marche le 26 février prochain. La marche vise à revendiquer le respect de la vie humaine pour que certaines habitudes du gouvernement ne se reproduisent plus et que les libertés puissent être exprimées sans entraves.
"Dans un état de droit, il existe deux régimes de liberté : le régime préventif et le régime répressif", affirme Me Max Loalngar. Pour lui, en tant que juriste de formation, le régime répressif est le plus libéral possible parce qu’il y a la liberté d'organiser les manifestations, même sans prévenir mais si vous vous faites des casses, c’est en ce moment que vous êtes tenus pour responsables. Dans le régime répressif, c’est juste une lettre d’information qui est faite aux autorités pour leur permettre de prendre et d’assurer des mesures de sécurité afin d'encadrer la manifestation.
D'après Me Max Loalngar, au Tchad, "c'est un régime hybride qui n'est ni préventif ni répressif car ils ont l’habitude de dire non, une lettre d’information ne suffit pas il faut une autorisation".