Le Comité International de la Croix Rouge (CICR) organise depuis le 19 novembre 2024 à Abéché, un atelier de formation sur le traitement de l'eau en réponse d'urgence.
Cet atelier de formation qui regroupe une trentaine de volontaires de la Croix Rouge du Tchad, venus du Sila, du Wadi Fira et du Ouaddaï, vise à renforcer les capacités de ces derniers en matière de traitement de l'eau et du contexte d'urgence.
Le représentant de la Croix Rouge du Tchad, section du Ouaddaï, Abdelatif Youssouf, s'est réjoui de la tenue de ces assises à Abéché. Pour lui, cet atelier va sans nul doute aider la Croix Rouge du Ouaddaï, à mieux servir les réfugiés et les déplacés en matière d'eau potable.
Le chef du département eau et habitat du CICR, Lassana Dosso, a relevé que cette formation va permettre à la population qui souffre des conflits, de bénéficier de meilleures conditions de vie en matière d'accès à l'eau potable.
Donnant le coup d'envoi des travaux, le chef du sous-bureau CICR Abéché, Nicolas Abou, a dit que son institution a épaulé le Tchad en vue de subvenir aux besoins des afflux des réfugiés et déplacés en matière d'eau potable. Il a aussi précisé qu'au Tchad, les statistiques montrent l'insuffisance de l'accès à l'eau potable à 64% de la population couverte, selon le rapport de l'OMS et de l'UNICEF.
Il faut signaler que cet atelier durera 5 jours.
Cet atelier de formation qui regroupe une trentaine de volontaires de la Croix Rouge du Tchad, venus du Sila, du Wadi Fira et du Ouaddaï, vise à renforcer les capacités de ces derniers en matière de traitement de l'eau et du contexte d'urgence.
Le représentant de la Croix Rouge du Tchad, section du Ouaddaï, Abdelatif Youssouf, s'est réjoui de la tenue de ces assises à Abéché. Pour lui, cet atelier va sans nul doute aider la Croix Rouge du Ouaddaï, à mieux servir les réfugiés et les déplacés en matière d'eau potable.
Le chef du département eau et habitat du CICR, Lassana Dosso, a relevé que cette formation va permettre à la population qui souffre des conflits, de bénéficier de meilleures conditions de vie en matière d'accès à l'eau potable.
Donnant le coup d'envoi des travaux, le chef du sous-bureau CICR Abéché, Nicolas Abou, a dit que son institution a épaulé le Tchad en vue de subvenir aux besoins des afflux des réfugiés et déplacés en matière d'eau potable. Il a aussi précisé qu'au Tchad, les statistiques montrent l'insuffisance de l'accès à l'eau potable à 64% de la population couverte, selon le rapport de l'OMS et de l'UNICEF.
Il faut signaler que cet atelier durera 5 jours.