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Tchad : à Ndjamena, les engins à deux roues circulent sans rétroviseurs
Considéré comme un coup d’œil en arrière pour aller de l’avant, le miroir avertisseur joue un rôle important dans la circulation. Mais force est de constater que beaucoup des usagers à deux roues ignorent l'utilité de cet accessoire.
Cependant, pour tourner, les usagers des motos sans rétroviseurs sont obligés se retourner pour regarder si la voie est libre, ou pas avant de traverser. Ce qui occasionne souvent des accidents de la route. Pourtant, que tous les engins à deux roues sont vendus avec ces accessoires, notamment les rétroviseurs.
Mais la majorité des usagers à Ndjamena en font pas usage. Selon Habibe, un vendeur de motos sur l'avenue Charles de Gaulle, « beaucoup de nos clients achètent la moto sans se soucier de l'absence des rétroviseurs, y a d'autres qui détachés eux-mêmes pour remettre », a-t-il déclaré. Comme en témoigne ce jeune « clandoman », Armand Kilbé, « je n'aime pas la présence des rétroviseurs sur mon engin.
C’est les femmes qui circulent avec des motos avec des rétroviseurs », lance-t-il. Au fait, à Ndjamena, ceux qui circulent avec la moto avec cet accessoire sont souvent surnommés « je connais mes droits ». Pourtant, ce petit miroir négligé permet de surveiller tous ceux qui circulent derrière soi.
Bien que la loi interdise la circulation des engins sans rétroviseurs, la réalité en est une autre. Selon un policier rencontré au marché de Dembé qui préfère garder son anonymat, « tout conducteur de moto doit disposer d’un miroir rétroviseur de sorte à surveiller la circulation, étant sur son volant sans avoir à se retourner.
Malheureusement, l'application de cette décision cause souvent problème. On arrête les usagers des engins à deux roues pour le contrôle des papiers », a-t-il martelé. Face aux récurrents accidents de la route, il est important de sensibiliser les usagers des engins à deux roues de circuler avec les rétroviseurs.
Le mieux est de circuler avec cet instrument avertisseur, qui permet de contrôler son arrière, pour mieux se comporter sur la voie publique.
Cependant, pour tourner, les usagers des motos sans rétroviseurs sont obligés se retourner pour regarder si la voie est libre, ou pas avant de traverser. Ce qui occasionne souvent des accidents de la route. Pourtant, que tous les engins à deux roues sont vendus avec ces accessoires, notamment les rétroviseurs.
Mais la majorité des usagers à Ndjamena en font pas usage. Selon Habibe, un vendeur de motos sur l'avenue Charles de Gaulle, « beaucoup de nos clients achètent la moto sans se soucier de l'absence des rétroviseurs, y a d'autres qui détachés eux-mêmes pour remettre », a-t-il déclaré. Comme en témoigne ce jeune « clandoman », Armand Kilbé, « je n'aime pas la présence des rétroviseurs sur mon engin.
C’est les femmes qui circulent avec des motos avec des rétroviseurs », lance-t-il. Au fait, à Ndjamena, ceux qui circulent avec la moto avec cet accessoire sont souvent surnommés « je connais mes droits ». Pourtant, ce petit miroir négligé permet de surveiller tous ceux qui circulent derrière soi.
Bien que la loi interdise la circulation des engins sans rétroviseurs, la réalité en est une autre. Selon un policier rencontré au marché de Dembé qui préfère garder son anonymat, « tout conducteur de moto doit disposer d’un miroir rétroviseur de sorte à surveiller la circulation, étant sur son volant sans avoir à se retourner.
Malheureusement, l'application de cette décision cause souvent problème. On arrête les usagers des engins à deux roues pour le contrôle des papiers », a-t-il martelé. Face aux récurrents accidents de la route, il est important de sensibiliser les usagers des engins à deux roues de circuler avec les rétroviseurs.
Le mieux est de circuler avec cet instrument avertisseur, qui permet de contrôler son arrière, pour mieux se comporter sur la voie publique.
