En manque d'arguments convaincants, ces derniers détournent l'attention de leurs militants avec des paroles insensées et enfantines.
À commencer par le plus vieux "loup" en manque de sagesse, Dr Haroun Kabadi Jacques, secrétaire général du parti : "la transition du Tchad est un modèle", dit-il, même si cette transition a violé la Constitution du pays. Quant au plus jeune ministre de la Jeunesse, Mahmoud Ali Seid, qui cherche une bonne place au paradis des "voleurs" sans honte, il devient animateur : "si tu aimes Mahamat Kaka, applaudis".
Et le juriste Me Jean Bernard Padaré, porte-parole du parti : "la politique ne se résume pas à porter de belles vestes et s'exhiber en compagnie des gens qui écrivent des livres. C'est ce qu'on appelle de la politique de spectacle". C'est déplorable de confondre le comportement vestimentaire de son adversaire politique à son idéologie.
Pourtant, après 32 ans de gestion de la chose publique, le MPS a fait plus de progrès dans les achats des véhicules haut de gamme, et dans les placements de fonds détournés dans les banques étrangères. Et beaucoup plus de recul dans les domaines de la santé, l'éducation, l'urbanisation, pour ne citer que ceux-là.
Plus de promesses que de réalisations, l'intégration de 20 000 jeunes, la réalisation du chemin de fer, la construction de 1000 logements ; la mémoire courte ? Ce sont les promesses du défunt père fondateur du parti. Le plus médiocre, le règne du MPS a donné naissance à une génération de "voleurs" que d'hommes honnêtes ; des criminels qui tuent sans être jugés pour ne citer que ça ! Le MPS n'a jamais prôné une alternance démocratique, le destin en a décidé autrement.
En avril 2021, le père fondateur du parti MPS meurt. La carte se joue autour de son fils, Mahamat Idriss Deby. Malheureusement, les vieux n'ont pas d'arguments pour convaincre les militants afin de se faire une place. Ces derniers se lancent dans la politique comique. Cependant, le peuple attend une nouvelle vision pour corriger les coquilles de 32 ans, sous les manettes du patron du parti.
L'entrée triomphale du MPS risque de laisser place à une sortie humiliante. Car la liberté promise par le MPS n'est que pire mensonge, laissant le peuple tchadien dans le désarroi. La question actuelle que l'on se pose est la suivante : comment faire pour corriger les ratés du défunt maréchal du Tchad lors de cette assise de réconciliation ? C'est à cette question que ceux qui ont cru en la politique du défunt fondateur de MPS, vont répondre.
Puisque le peuple ne choisira plus une liberté dans la souffrance. L'histoire est trop têtue, les adeptes du parti doivent mettre leurs V8 au service de la population. Déjà, le fils Mahamat Idriss Deby Itno, "conscient de la situation", remet ceux qui ont mal acquis leurs biens entre les mains de Dieu. Le parti MPS doit aussi penser à organiser son propre dialogue.
Car la tâche d'huile dans l'affaire du remplacement de Zene Bada n'est pas réglée. Même si ce dernier est rentré au pays. La course vers un nouvel fauteuil au Palais rose sera très dure pour les vieux du MPS, face à cette génération consciente.
À commencer par le plus vieux "loup" en manque de sagesse, Dr Haroun Kabadi Jacques, secrétaire général du parti : "la transition du Tchad est un modèle", dit-il, même si cette transition a violé la Constitution du pays. Quant au plus jeune ministre de la Jeunesse, Mahmoud Ali Seid, qui cherche une bonne place au paradis des "voleurs" sans honte, il devient animateur : "si tu aimes Mahamat Kaka, applaudis".
Et le juriste Me Jean Bernard Padaré, porte-parole du parti : "la politique ne se résume pas à porter de belles vestes et s'exhiber en compagnie des gens qui écrivent des livres. C'est ce qu'on appelle de la politique de spectacle". C'est déplorable de confondre le comportement vestimentaire de son adversaire politique à son idéologie.
Pourtant, après 32 ans de gestion de la chose publique, le MPS a fait plus de progrès dans les achats des véhicules haut de gamme, et dans les placements de fonds détournés dans les banques étrangères. Et beaucoup plus de recul dans les domaines de la santé, l'éducation, l'urbanisation, pour ne citer que ceux-là.
Plus de promesses que de réalisations, l'intégration de 20 000 jeunes, la réalisation du chemin de fer, la construction de 1000 logements ; la mémoire courte ? Ce sont les promesses du défunt père fondateur du parti. Le plus médiocre, le règne du MPS a donné naissance à une génération de "voleurs" que d'hommes honnêtes ; des criminels qui tuent sans être jugés pour ne citer que ça ! Le MPS n'a jamais prôné une alternance démocratique, le destin en a décidé autrement.
En avril 2021, le père fondateur du parti MPS meurt. La carte se joue autour de son fils, Mahamat Idriss Deby. Malheureusement, les vieux n'ont pas d'arguments pour convaincre les militants afin de se faire une place. Ces derniers se lancent dans la politique comique. Cependant, le peuple attend une nouvelle vision pour corriger les coquilles de 32 ans, sous les manettes du patron du parti.
L'entrée triomphale du MPS risque de laisser place à une sortie humiliante. Car la liberté promise par le MPS n'est que pire mensonge, laissant le peuple tchadien dans le désarroi. La question actuelle que l'on se pose est la suivante : comment faire pour corriger les ratés du défunt maréchal du Tchad lors de cette assise de réconciliation ? C'est à cette question que ceux qui ont cru en la politique du défunt fondateur de MPS, vont répondre.
Puisque le peuple ne choisira plus une liberté dans la souffrance. L'histoire est trop têtue, les adeptes du parti doivent mettre leurs V8 au service de la population. Déjà, le fils Mahamat Idriss Deby Itno, "conscient de la situation", remet ceux qui ont mal acquis leurs biens entre les mains de Dieu. Le parti MPS doit aussi penser à organiser son propre dialogue.
Car la tâche d'huile dans l'affaire du remplacement de Zene Bada n'est pas réglée. Même si ce dernier est rentré au pays. La course vers un nouvel fauteuil au Palais rose sera très dure pour les vieux du MPS, face à cette génération consciente.