Depuis, aucune communication officielle n'a été faite sur le mobile de son enlèvement, ce qui inquiète son avocat Me. Ndilyam Mouadjimtog. Cette détention arbitraire viole les instruments juridiques internationaux ratifiés par le Tchad sur les questions de droits de l'Homme. Dans cet article, nous revenons sur les faits et les conséquences de cette arrestation.
Me. Ndilyam Mouadjimtog affirme que l'arrestation du directeur général de l'ADETIC, Yves KOLDIMADJI, est une séquestration en violation frontale des instruments juridiques internationaux ratifiés par le Tchad sur les questions de droits de l'Homme, notamment la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme et du Citoyen et la Charte Africaine des Droits de l'Homme et des Peuples. En effet, le droit à la présomption d'innocence et celui d'avoir accès à son avocat étant sacrés, cet enlèvement arbitraire est inacceptable.
Me. Ndilyam Mouadjimtog affirme que l'arrestation du directeur général de l'ADETIC, Yves KOLDIMADJI, est une séquestration en violation frontale des instruments juridiques internationaux ratifiés par le Tchad sur les questions de droits de l'Homme, notamment la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme et du Citoyen et la Charte Africaine des Droits de l'Homme et des Peuples. En effet, le droit à la présomption d'innocence et celui d'avoir accès à son avocat étant sacrés, cet enlèvement arbitraire est inacceptable.