De son nom scientifique, « vitellaria paradoxa », appelé « arbre à beurre », en arabe local « en Kourom », le karité est l'une des variétés de plantes qu'on retrouve beaucoup quand on amorce déjà le Mandoul, en allant vers le Moyen-Chari. A l'état naturel, il pousse dans la savane. Sa croissance est trop lente, car il faut attendre 15 ans pour apercevoir ses premiers fruits.
Jeune de la zone méridionale, Sinabe Osée explique l'utilité du karité pour les soins traditionnels. D'après lui, le beurre de karité sert à pratiquer l'onction corporelle pour les foulures, entorses, courbatures, ulcères, brûlures et plaies légères, mais aussi des crevasses et gerçures. Il traite également les inflammations cutanées et diverses maladies de la peau chez les nourrissons et enfants. Les irritations chez l'homme, après rasage, trouvent aussi une solution à travers cette plante.
Le beurre est utilisé pour prévenir la formation de vergetures chez la femme enceinte et pour raffermir les muscles après accouchement. Il présente d'innombrables vertus et a une renommée internationale, grâce à une industrie locale qui fait dans le domaine des cosmétiques (soins de la peau, des cheveux, huile contre les conditions climatiques et le vieillissement) et dans le domaine agroalimentaire (margarine, chocolat, confiserie et biscuits).
C'est beaucoup plus durant la période allant de mai, juin à la mi-septembre, que cette plante produit ses fruits. En saison, l'on observe les enfants et les femmes les transporter dans des tasses, en direction du marché ou vers certains carrefours pour vendre. Au Tchad, le karité est utilisé manuellement pour extraire son huile qui sera ensuite utilisée dans les cuisines et autres. L'État devrait profiter de cet arbre naturel qui présente une utilité considérable ; il peut créer des industries qui pourront aider dans la transformation du karité à d'autres fins. Cela peut également être une ouverture d'emplois pour les jeunes diplômés au chômage.
Jeune de la zone méridionale, Sinabe Osée explique l'utilité du karité pour les soins traditionnels. D'après lui, le beurre de karité sert à pratiquer l'onction corporelle pour les foulures, entorses, courbatures, ulcères, brûlures et plaies légères, mais aussi des crevasses et gerçures. Il traite également les inflammations cutanées et diverses maladies de la peau chez les nourrissons et enfants. Les irritations chez l'homme, après rasage, trouvent aussi une solution à travers cette plante.
Le beurre est utilisé pour prévenir la formation de vergetures chez la femme enceinte et pour raffermir les muscles après accouchement. Il présente d'innombrables vertus et a une renommée internationale, grâce à une industrie locale qui fait dans le domaine des cosmétiques (soins de la peau, des cheveux, huile contre les conditions climatiques et le vieillissement) et dans le domaine agroalimentaire (margarine, chocolat, confiserie et biscuits).
C'est beaucoup plus durant la période allant de mai, juin à la mi-septembre, que cette plante produit ses fruits. En saison, l'on observe les enfants et les femmes les transporter dans des tasses, en direction du marché ou vers certains carrefours pour vendre. Au Tchad, le karité est utilisé manuellement pour extraire son huile qui sera ensuite utilisée dans les cuisines et autres. L'État devrait profiter de cet arbre naturel qui présente une utilité considérable ; il peut créer des industries qui pourront aider dans la transformation du karité à d'autres fins. Cela peut également être une ouverture d'emplois pour les jeunes diplômés au chômage.