Débutées le 22 octobre dernier, les activités de la table ronde organisée par SWEDD, ont pris fin ce 24 octobre 2024 dans un hôtel de la place.
Les échanges durant les travaux étaient axés sur les différentes thématiques, à savoir : la problématique du faible taux de scolarisation des adolescentes, le droit d'accès égal au service de santé de reproduction par les jeunes filles et femmes.
Les sujets abordés portaient sur la question de l'entrepreneuriat des jeunes filles déscolarisées, l'autonomisation économique des femmes et filles, l'intensification de la prévention des VBG, l'accès des femmes à la terre, l'engagement et le plaidoyer sur le dividende démographique.
À l'issue de ces échanges, les participants ont formulé quelques recommandations à l'endroit des autorités et de toutes les parties prenantes. Les participants demandent au gouvernement d'assurer la synergie entre les acteurs travaillant pour l'amélioration des conditions des jeunes filles et femmes.
Il s’agit également de sensibiliser les chefs traditionnels, les leaders religieux et les communautés sur la question d'accès de la femme à la terre ; veiller aux respects et protocole d'accord en faveur des jeunes filles et femmes ; vulgariser les textes protégeant le droit de la femme ; organiser les émissions radiophoniques visant à promouvoir les droits de la femme ; enfin, augmenter le nombre d'animateurs de la jeunesse dans les provinces etc.
Quant aux chefs traditionnels et les leaders religieux, ils ont promis de mener les activités dans leurs différents milieux, pour améliorer les conditions de la gent féminine. Ils ont promis soutenir les efforts gouvernementaux et les partenaires techniques et financiers, pour l'amélioration des conditions des adolescents filles et femmes.
Par ailleurs, il faut renforcer le taux de scolarisation des adolescentes. Ils ont rassuré d'appliquer la loi 006 du 14 mars 2015, interdisant le mariage des enfants. Selon le représentant du ministère de la Femme, l'autonomisation des adolescents et des jeunes femmes est un bon levier pour la transition démographique du pays.
Investir dans l'insertion socioprofessionnelle des femmes et des filles n'est pas fortuit, car elle permet de bâtir des communautés résilientes qui peuvent se remettre des crises, et s'adapter aux menaces croissantes, telles que le changement climatique, la fragilité et les stéréotypes de tout genre.
Il a souligné que le projet SWEDD+ mettra davantage l'accent sur le renforcement des compétences de vie des adolescents et de jeunes femmes en matière de la connaissance de santé sexuelle.
Les échanges durant les travaux étaient axés sur les différentes thématiques, à savoir : la problématique du faible taux de scolarisation des adolescentes, le droit d'accès égal au service de santé de reproduction par les jeunes filles et femmes.
Les sujets abordés portaient sur la question de l'entrepreneuriat des jeunes filles déscolarisées, l'autonomisation économique des femmes et filles, l'intensification de la prévention des VBG, l'accès des femmes à la terre, l'engagement et le plaidoyer sur le dividende démographique.
À l'issue de ces échanges, les participants ont formulé quelques recommandations à l'endroit des autorités et de toutes les parties prenantes. Les participants demandent au gouvernement d'assurer la synergie entre les acteurs travaillant pour l'amélioration des conditions des jeunes filles et femmes.
Il s’agit également de sensibiliser les chefs traditionnels, les leaders religieux et les communautés sur la question d'accès de la femme à la terre ; veiller aux respects et protocole d'accord en faveur des jeunes filles et femmes ; vulgariser les textes protégeant le droit de la femme ; organiser les émissions radiophoniques visant à promouvoir les droits de la femme ; enfin, augmenter le nombre d'animateurs de la jeunesse dans les provinces etc.
Quant aux chefs traditionnels et les leaders religieux, ils ont promis de mener les activités dans leurs différents milieux, pour améliorer les conditions de la gent féminine. Ils ont promis soutenir les efforts gouvernementaux et les partenaires techniques et financiers, pour l'amélioration des conditions des adolescents filles et femmes.
Par ailleurs, il faut renforcer le taux de scolarisation des adolescentes. Ils ont rassuré d'appliquer la loi 006 du 14 mars 2015, interdisant le mariage des enfants. Selon le représentant du ministère de la Femme, l'autonomisation des adolescents et des jeunes femmes est un bon levier pour la transition démographique du pays.
Investir dans l'insertion socioprofessionnelle des femmes et des filles n'est pas fortuit, car elle permet de bâtir des communautés résilientes qui peuvent se remettre des crises, et s'adapter aux menaces croissantes, telles que le changement climatique, la fragilité et les stéréotypes de tout genre.
Il a souligné que le projet SWEDD+ mettra davantage l'accent sur le renforcement des compétences de vie des adolescents et de jeunes femmes en matière de la connaissance de santé sexuelle.