Une récolte dans des cultures maraichères, dans le cadre du projet "Mon quartier, mon engagement", a eu lieu jeudi à Chagoua, dans le 7ème arrondissement et à Walia, dans le 9ème arrondissement de N'Djamena.
Le projet -comprenant une formation préalable- a été mis sur pied par la Fondation Grand Cœur. Il est piloté par Aya Tchad. Plus de 2500 jeunes ont été formés en culture maraichère. Ils ont mis en place 94 jardins de potagers. L'objectif est de lutter contre le chômage.
La présidente de l’organisation Aya Tchad, Mme. Fatime Souckar Terab, a assisté aujourd'hui à la récolte aux côtés des ambassadeurs.
Fatime Souckar Terab s'est félicité de cette initiative en faveur des jeunes. Elle a exprimé ses encouragements pour les efforts abattus par les jeunes dans le cadre de ce projet plein d'espoir.
L’ambassadrice du 7ème arrondissement, a indiqué que grâce à cette formation riche et pleine d'espoir, ça a permis de réaliser beaucoup de choses.
"Avant nous ne savions pas comment récolter, semer le maïs. Aujourd'hui, ça nous est vraiment bénéfique", a dit la bénéficiaire.
Les aliments récoltés vont être vendus. Une partie de l'argent va servir à renforcer la caisse, tandis qu'une autre partie va permettre d'acheter des semences et acheter d'autres parcelles de terrain pour élargir.
Le projet -comprenant une formation préalable- a été mis sur pied par la Fondation Grand Cœur. Il est piloté par Aya Tchad. Plus de 2500 jeunes ont été formés en culture maraichère. Ils ont mis en place 94 jardins de potagers. L'objectif est de lutter contre le chômage.
La présidente de l’organisation Aya Tchad, Mme. Fatime Souckar Terab, a assisté aujourd'hui à la récolte aux côtés des ambassadeurs.
Fatime Souckar Terab s'est félicité de cette initiative en faveur des jeunes. Elle a exprimé ses encouragements pour les efforts abattus par les jeunes dans le cadre de ce projet plein d'espoir.
L’ambassadrice du 7ème arrondissement, a indiqué que grâce à cette formation riche et pleine d'espoir, ça a permis de réaliser beaucoup de choses.
"Avant nous ne savions pas comment récolter, semer le maïs. Aujourd'hui, ça nous est vraiment bénéfique", a dit la bénéficiaire.
Les aliments récoltés vont être vendus. Une partie de l'argent va servir à renforcer la caisse, tandis qu'une autre partie va permettre d'acheter des semences et acheter d'autres parcelles de terrain pour élargir.