UNET. © Alwihda Info
Le secrétaire général de bureau national de l’Union nationale des étudiants tchadiens (UNET), Frédéric Raikina Bealoum a fait, ce samedi 26 janvier, un point de presse à l’Université de N’Djamena pour dénoncer la détérioration des conditions d’études dans toutes les institutions de l’enseignement supérieur du Tchad, liées à l’indifférence des autorités.
Selon Frédéric Raikina Bealoum, "suite à nos multiples démarches en direction de nos autorités en charge de l’enseignement supérieur relative à l’amélioration de nos conditions d’études, rien n’a été pris en compte et les étudiants continuent à étudier dans des conditions très difficiles."
Le bureau exécutif national de l’UNET rappelle qu’en date du 4 décembre dernier, suite au manque de bus devant permettre aux étudiants de se rendre dans les facultés à Moundou, deux étudiants qui ont été transportés par des particuliers sont décédés dans un accident tandis que d'autres ont été blessés. Il dit avoir enregistré plusieurs cas d’accidents parmi les étudiants suite à ce même problème.
« Nous tenons à préciser que malgré l’incident survenu à Moundou, jusqu’à là les bus ne circulent pas dans cette section ainsi que dans les seize autres sections des universités et instituts universitaires. A cela s’ajoute les difficultés suivantes : la pétanque des restaurants universitaires dans toutes les institutions du supérieur ; le manque des laboratoires universitaires, le manque des infrastructures d accueil dans plusieurs universités et instituts universitaires et le manque des enseignants qualifiés pour la formation des jeunes futurs cadres de ce pays. La liste est non exhaustive », explique Frédéric Raikina Bealoum.
Le bureau national des étudiants tchadiens s’indigne contre la décision rectorale de l’université de N'Djamena par rapport aux calendriers des inscriptions, ce qui sanctionne les étudiants retardataires à reprendre leur niveau. Il demande au ministre de l’Enseignement supérieur de prendre sa responsabilité afin que la rentrée prochaine s’effectue dans de bonnes conditions.
Frédéric Raikina Bealoum demande au président de la République, en tant que premier garant des droits et libertés des tchadiens, d’intervenir pour sauver les droits et libertés des étudiants tchadiens bafoués et leur redonner l’espoir et l’assurance d’un monde estudiantin meilleur.
Le bureau national, en tant qu'instance suprême de la structure administrative de l’UNET, appelle les étudiants à se ressaisir et à privilégier le dialogue gage de la paix et de l’unité nationale. Il ajoute que bureau national est en négociation avec les autorités en charge de l’enseignement supérieur et le gouvernement afin de trouver une solution aux problèmes académiques.
Selon Frédéric Raikina Bealoum, "suite à nos multiples démarches en direction de nos autorités en charge de l’enseignement supérieur relative à l’amélioration de nos conditions d’études, rien n’a été pris en compte et les étudiants continuent à étudier dans des conditions très difficiles."
Le bureau exécutif national de l’UNET rappelle qu’en date du 4 décembre dernier, suite au manque de bus devant permettre aux étudiants de se rendre dans les facultés à Moundou, deux étudiants qui ont été transportés par des particuliers sont décédés dans un accident tandis que d'autres ont été blessés. Il dit avoir enregistré plusieurs cas d’accidents parmi les étudiants suite à ce même problème.
« Nous tenons à préciser que malgré l’incident survenu à Moundou, jusqu’à là les bus ne circulent pas dans cette section ainsi que dans les seize autres sections des universités et instituts universitaires. A cela s’ajoute les difficultés suivantes : la pétanque des restaurants universitaires dans toutes les institutions du supérieur ; le manque des laboratoires universitaires, le manque des infrastructures d accueil dans plusieurs universités et instituts universitaires et le manque des enseignants qualifiés pour la formation des jeunes futurs cadres de ce pays. La liste est non exhaustive », explique Frédéric Raikina Bealoum.
Le bureau national des étudiants tchadiens s’indigne contre la décision rectorale de l’université de N'Djamena par rapport aux calendriers des inscriptions, ce qui sanctionne les étudiants retardataires à reprendre leur niveau. Il demande au ministre de l’Enseignement supérieur de prendre sa responsabilité afin que la rentrée prochaine s’effectue dans de bonnes conditions.
Frédéric Raikina Bealoum demande au président de la République, en tant que premier garant des droits et libertés des tchadiens, d’intervenir pour sauver les droits et libertés des étudiants tchadiens bafoués et leur redonner l’espoir et l’assurance d’un monde estudiantin meilleur.
Le bureau national, en tant qu'instance suprême de la structure administrative de l’UNET, appelle les étudiants à se ressaisir et à privilégier le dialogue gage de la paix et de l’unité nationale. Il ajoute que bureau national est en négociation avec les autorités en charge de l’enseignement supérieur et le gouvernement afin de trouver une solution aux problèmes académiques.