Selon le Programme alimentaire mondial des Nations Unies (PAM) et l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), il faut au moins 161 millions de dollars d'ici la fin de 2022 pour éviter une suspension des programme d'aide du PAM aux réfugiés et fournir une aide vitale aux communautés touchées par la crise au Tchad, y compris 519.000 réfugiés soudanais et centrafricains.
« Les réfugiés comptent sur nous pour ce qui est parfois le seul repas qu'ils prennent dans une journée - la nourriture du PAM est une bouée de sauvetage vitale », a déclaré dans un communiqué, le représentant du PAM au Tchad, Pierre Honnorat.
À partir de juin 2021, le PAM a été contraint de fournir des demi-rations aux réfugiés en raison d'importantes pénuries de financement. Le PAM et le HCR craignent que toute nouvelle suspension de l'aide alimentaire n'ait de graves répercussions sur la sécurité alimentaire.
« Les réfugiés comptent sur nous pour ce qui est parfois le seul repas qu'ils prennent dans une journée - la nourriture du PAM est une bouée de sauvetage vitale », a déclaré dans un communiqué, le représentant du PAM au Tchad, Pierre Honnorat.
À partir de juin 2021, le PAM a été contraint de fournir des demi-rations aux réfugiés en raison d'importantes pénuries de financement. Le PAM et le HCR craignent que toute nouvelle suspension de l'aide alimentaire n'ait de graves répercussions sur la sécurité alimentaire.