Au cours d’une conférence de presse organisée le 31 août 2021, au Centre Almouna, l’Association Solidarité France-Tchad (ASFT), l'ONG ARANT et l’Association Green Education, ont présenté leur proposition de projet pour la facilitation du dialogue national inclusif au Tchad, Le panel composé de deux conférenciers, à savoir Mahamat Ingai Abdallah, doctorant en droit public et Idriss Khamis, fondateur de l’Association Solidarité France-Tchad. L’objectif global de ce projet vise le renforcement de la concorde nationale et de la paix au Tchad.
De cet objectif général, se dégagent les objectifs spécifiques : mobiliser les forces vives du pays en vue de rompre avec le cycle des rébellions, en dissuadant les jeunes qui cherchent la solution avec les armes ; faciliter les prises de contact avec les différents groupes en conflit pour créer des cadres efficaces de dialogue ; impliquer les élites et les forces vives de la diaspora tchadienne, dans le cadre des réflexions thématiques prioritaires, afin de pacifier le pays.
Mahamat Ingai Abdallah, le premier conférencier, par ailleurs président de Green Education, a d’abord rappelé l’historique du cycle des conflits qu’a connus le Tchad et les tentatives de solutions proposées. Pour le conférencier, le Tchad, depuis son accession à l’indépendance, n’a pas cessé d’être l’objet des crises interminables. Et plusieurs tentatives de solutions n’ont pas abouti, comme celle de la conférence nationale souveraine de 1993, les multiples accords politiques et les deux derniers forums nationaux inclusifs. « Nous n’avons pas la prétention d’avoir une solution magique, mais nous sommes convaincus qu’une réconciliation authentique et définitive doit nécessairement passer par une thérapie collective », souligne Mahamat Ingai Abdallah.
Quant au deuxième conférencier, Idriss Khamis, fondateur de l’Association Solidarité France-Tchad, il s’est focalisé sur les expériences réussies, dans des pays comme le Rwanda et l’Afrique du sud, pour en tirer de leçons.
De cet objectif général, se dégagent les objectifs spécifiques : mobiliser les forces vives du pays en vue de rompre avec le cycle des rébellions, en dissuadant les jeunes qui cherchent la solution avec les armes ; faciliter les prises de contact avec les différents groupes en conflit pour créer des cadres efficaces de dialogue ; impliquer les élites et les forces vives de la diaspora tchadienne, dans le cadre des réflexions thématiques prioritaires, afin de pacifier le pays.
Mahamat Ingai Abdallah, le premier conférencier, par ailleurs président de Green Education, a d’abord rappelé l’historique du cycle des conflits qu’a connus le Tchad et les tentatives de solutions proposées. Pour le conférencier, le Tchad, depuis son accession à l’indépendance, n’a pas cessé d’être l’objet des crises interminables. Et plusieurs tentatives de solutions n’ont pas abouti, comme celle de la conférence nationale souveraine de 1993, les multiples accords politiques et les deux derniers forums nationaux inclusifs. « Nous n’avons pas la prétention d’avoir une solution magique, mais nous sommes convaincus qu’une réconciliation authentique et définitive doit nécessairement passer par une thérapie collective », souligne Mahamat Ingai Abdallah.
Quant au deuxième conférencier, Idriss Khamis, fondateur de l’Association Solidarité France-Tchad, il s’est focalisé sur les expériences réussies, dans des pays comme le Rwanda et l’Afrique du sud, pour en tirer de leçons.