N'Djamena - Le Collectif tchadien contre la vie chère (CTVC) est dans la rue ce 5 mars pour une marche pacifique. Les manifestants revendiquent le rétablissement des bourses d'études supprimées depuis 2016. Ils exigent le rabais des frais d'inscription à l'Université de 50.000 Fcfa à 20.000 Fcfa.
"Le peuple meurt de faim ! Un peuple affamé n'a point d'oreilles", peut-on lire sur des banderoles. Les manifestants demandent également la démission du premier ministre.
La capitale N'Djamena est classée comme l'une des villes les plus chères au monde. D'après les chiffres des organismes onusiens, au moins 5,1 millions de citoyens sont touchés par l'insécurité alimentaire au Tchad. À ce jour, le gouvernement n'est pas parvenu à mettre en place une stratégie efficace pour permettre aux tchadiens de subvenir à leurs besoins alimentaires à des prix raisonnables.
La précarité sociale touche particulièrement les étudiants. Ce samedi matin, un étudiant s'est pendu à un arbre à Abéché, dans la province du Ouaddaï.
"Le peuple meurt de faim ! Un peuple affamé n'a point d'oreilles", peut-on lire sur des banderoles. Les manifestants demandent également la démission du premier ministre.
La capitale N'Djamena est classée comme l'une des villes les plus chères au monde. D'après les chiffres des organismes onusiens, au moins 5,1 millions de citoyens sont touchés par l'insécurité alimentaire au Tchad. À ce jour, le gouvernement n'est pas parvenu à mettre en place une stratégie efficace pour permettre aux tchadiens de subvenir à leurs besoins alimentaires à des prix raisonnables.
La précarité sociale touche particulièrement les étudiants. Ce samedi matin, un étudiant s'est pendu à un arbre à Abéché, dans la province du Ouaddaï.