Les membres du collectif ont été gardés en détention pendant 72 heures, auditionnés et présentés devant le juge de paix de Bousso. Ils ont passé toute la journée devant la justice, et ont été libérés grâce à l'intervention de leur avocat et de leurs parents comme garants. Ils ont été accusés de troubles à l'ordre public et de rébellion armée pour une réunion qui a duré seulement 50 minutes à Bousso. Les autorités ont également prétendu qu'ils avaient réuni plus de 600 personnes et 200 motos.
Les membres du collectif ont déclaré qu'ils n'ont pas encore reçu de réponse à leurs doléances, et qu'ils souhaitent que l'ancien comité fasse un bilan des 9 années d'existence. Ils ont également accusé le Sultan d'utiliser son influence pour faire pression sur eux, et de contrôler leurs déplacements dans la province.
En conséquence, ils ont demandé le départ du gouverneur du Chari-Baguirmi, qui les empêche de mener une vie normale dans leur département. Ils ont également demandé le départ du préfet de Bousso et du chef d'antenne de Bousso, qui mettent en péril la cohésion sociale. Les membres du collectif ont souligné qu'ils sont un peuple pacifique, mais qu'ils ne toléreront pas d'être opprimés.
Les membres du collectif ont déclaré qu'ils n'ont pas encore reçu de réponse à leurs doléances, et qu'ils souhaitent que l'ancien comité fasse un bilan des 9 années d'existence. Ils ont également accusé le Sultan d'utiliser son influence pour faire pression sur eux, et de contrôler leurs déplacements dans la province.
En conséquence, ils ont demandé le départ du gouverneur du Chari-Baguirmi, qui les empêche de mener une vie normale dans leur département. Ils ont également demandé le départ du préfet de Bousso et du chef d'antenne de Bousso, qui mettent en péril la cohésion sociale. Les membres du collectif ont souligné qu'ils sont un peuple pacifique, mais qu'ils ne toléreront pas d'être opprimés.