Un atelier sur la paix en milieu universitaire, organisé par l'Union nationale des jeunes étudiants chrétiens et musulmans des Universités du Tchad, en partenariat avec l'Action des partenaires pour l'appui au développement (APAD), a pris fin ce samedi 2 mars au CEFOD, à N'Djamena.
Au terme de deux jours de formation, chaque participant a reçu une attestation du "Jeune ambassadeur de la paix en milieu universitaire", pour la sensibilisation et la cohabitation pacifique.
Les jeunes participants sont venus de six universités de N'Djamena pour prendre part à l'atelier. Ils ont été formés par au moins quatre personnalités : le Cheikh Ousmane Abdeldaim, secrétaire général du Conseil supérieur des affaires islamiques du Tchad, Abakar Waler, Dr. Sitack Djombatna et le politologue Ahmat Lary Haroun.
Les thèmes qui ont été abordés au cours de l'atelier sont le rôle et la responsabilité de la jeunesse dans la lutte contre l'extrémisme violente, les causes et les conséquences ; la promotion de l'égalité et du genre : l'impact sur le développement de la société ; la cohabitation pacifique : l'importance et les avantages ; la gestion et la résolution des conflits dans le milieu de la jeunesse.
"Les conflits inter-religieux se propagent partout dans le monde à cause de l'ignorance. Les leaders religieuses nous ont confirmé que promouvoir la paix n'est pas l'utilisation d'armes mais l'amour du prochain", a relevé le président de l'Union des étudiants, Toubou Mahamat Bakhit, lors de l'ouverture de l'atelier.
Au terme de deux jours de formation, chaque participant a reçu une attestation du "Jeune ambassadeur de la paix en milieu universitaire", pour la sensibilisation et la cohabitation pacifique.
Les jeunes participants sont venus de six universités de N'Djamena pour prendre part à l'atelier. Ils ont été formés par au moins quatre personnalités : le Cheikh Ousmane Abdeldaim, secrétaire général du Conseil supérieur des affaires islamiques du Tchad, Abakar Waler, Dr. Sitack Djombatna et le politologue Ahmat Lary Haroun.
Les thèmes qui ont été abordés au cours de l'atelier sont le rôle et la responsabilité de la jeunesse dans la lutte contre l'extrémisme violente, les causes et les conséquences ; la promotion de l'égalité et du genre : l'impact sur le développement de la société ; la cohabitation pacifique : l'importance et les avantages ; la gestion et la résolution des conflits dans le milieu de la jeunesse.
"Les conflits inter-religieux se propagent partout dans le monde à cause de l'ignorance. Les leaders religieuses nous ont confirmé que promouvoir la paix n'est pas l'utilisation d'armes mais l'amour du prochain", a relevé le président de l'Union des étudiants, Toubou Mahamat Bakhit, lors de l'ouverture de l'atelier.