Les travaux de réhabilitation commenceront de l’avenue Général Moussa Sougui en allant du rond-point Nouakchott, en face du ministère de la Défense nationale, jusqu’à la sortie Sud de l’aéroport Hassan Djamous, en passant devant la villa Burkina.
Ils seront suivis des travaux de la rue du 26 août qui commenceront au rond-point Trésor, communément appelé rond-point « Gouroun Bagar », allant jusqu’au rond-point des travaux publics. Le projet est financé par l’État à hauteur des montants respectifs de 3.4 milliards FCFA toutes taxes comprises pour la réhabilitation et de 289.919.600 Fcfa toutes taxes comprises pour la rue du 26 août.
Ouvrant la cérémonie, le 2ème maire adjoint de la ville de N’Djamena, Brahim Abdou, a déclaré qu’en peu de temps de transition, la capitale a bénéficié de plusieurs infrastructures qui sont en cours de réalisation. Selon lui, d’autres réalisations viendront s’ajouter à celles existantes pour permettre à la population de vivre décemment.
Ils seront suivis des travaux de la rue du 26 août qui commenceront au rond-point Trésor, communément appelé rond-point « Gouroun Bagar », allant jusqu’au rond-point des travaux publics. Le projet est financé par l’État à hauteur des montants respectifs de 3.4 milliards FCFA toutes taxes comprises pour la réhabilitation et de 289.919.600 Fcfa toutes taxes comprises pour la rue du 26 août.
Ouvrant la cérémonie, le 2ème maire adjoint de la ville de N’Djamena, Brahim Abdou, a déclaré qu’en peu de temps de transition, la capitale a bénéficié de plusieurs infrastructures qui sont en cours de réalisation. Selon lui, d’autres réalisations viendront s’ajouter à celles existantes pour permettre à la population de vivre décemment.
Pour le ministre des Infrastructures et du Désenclavement, Patalet Geo, l’exécution de l’ensemble des travaux est confiée à l’entreprise SOGEA SATOM pour une durée de 8 mois. D’après lui, il est incontestable que les infrastructures routières permettent de stimuler les activités économiques et participent à la croissance de façon globale. Elles sont un frein au goulot d’étranglement de l’économie du pays qui est dans le tournant de son histoire.
Pour le représentant du premier ministre de transition, Acheikh Ibn Oumar, par ailleurs ministre d’État chargé de la réconciliation nationale et du dialogue social, le choc que le Tchad a subi avec la disparition tragique du Maréchal Idriss Deby Itno a amené les nouvelles autorités de la transition à accorder la priorité à des axes essentiels : la sécurité, la défense nationale, et l’amélioration du climat politique par le dialogue et la réconciliation.
Acheikh Ibn Oumar a aussi souligné que la vie des citoyens doit évidemment continuer, tandis que l’amélioration des conditions de vie et du travail doit se poursuivre, d’où la nécessité du gouvernement de redoubler d'efforts dans les domaines des infrastructures et des services sociaux.
Pour le représentant du premier ministre de transition, Acheikh Ibn Oumar, par ailleurs ministre d’État chargé de la réconciliation nationale et du dialogue social, le choc que le Tchad a subi avec la disparition tragique du Maréchal Idriss Deby Itno a amené les nouvelles autorités de la transition à accorder la priorité à des axes essentiels : la sécurité, la défense nationale, et l’amélioration du climat politique par le dialogue et la réconciliation.
Acheikh Ibn Oumar a aussi souligné que la vie des citoyens doit évidemment continuer, tandis que l’amélioration des conditions de vie et du travail doit se poursuivre, d’où la nécessité du gouvernement de redoubler d'efforts dans les domaines des infrastructures et des services sociaux.